E-diplôme RDC : la blockchain au service de la lutte contre les faux diplômes

La République démocratique du Congo franchit un cap dans la modernisation de son système éducatif. La ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale et de la Nouvelle citoyenneté, Raïssa Malu Dinanga, a annoncé, lors du Conseil des ministres du 18 juillet 2025, le lancement officiel de la plateforme E-diplôme RDC, une solution innovante reposant sur la technologie blockchain.

Accessible via le site www.diplome.cd, cette plateforme constitue la première solution numérique de certification des diplômes d’État en RDC. Elle marque un tournant stratégique pour sécuriser les documents académiques, lutter contre la fraude et renforcer la crédibilité internationale du système éducatif congolais.

« E-diplôme vise à dématérialiser les diplômes, garantir leur traçabilité, faciliter leur vérification au niveau national et international, et permettre un archivage numérique permanent, même en cas de changement de système », a précisé la ministre dans son intervention.

E-diplôme RDC : transparence, fiabilité et accès universel

Cette réforme numérique entend notamment :

  • Réduire drastiquement la circulation des faux diplômes ;

  • Offrir une preuve numérique permanente aux diplômés ;

  • Faciliter l’accès aux employeurs, universités, ambassades ;

  • Moderniser l’image de la RDC à l’échelle internationale.

Si les diplômes papier restent disponibles, leur version électronique vient en renfort, offrant plus de sécurité, de transparence et de longévité. Pour Raïssa Malu, il s’agit d’un pas majeur vers la souveraineté numérique du secteur éducatif, et un modèle pour la gouvernance en Afrique centrale.

Une réforme alignée sur la vision numérique de Félix Tshisekedi

Cette avancée s’inscrit dans la droite ligne du Plan National du Numérique « Horizon 2025 », porté par le président Félix-Antoine Tshisekedi. Ce plan stratégique repose sur quatre piliers : infrastructures, contenus, usages applicatifs, et gouvernance/régulation.

Félix Tshisekedi a toujours insisté sur la réduction de la fracture numérique, l’accessibilité à l’internet, et l’intégration des technologies dans les politiques publiques. Le déploiement de la plateforme E-diplôme incarne cette vision, en alliant innovation technologique et transparence institutionnelle.

Résolution 2773 : Lamuka exhorte à une application intégrale pour garantir la paix en RDC

Dans un communiqué publié ce 20 juillet 2025, la coalition de l’opposition Lamuka a exprimé sa satisfaction face aux avancées notables du processus de paix en République démocratique du Congo, après la signature à Doha, le 19 juillet, d’un accord de principe entre Kinshasa et l’AFC/M23.

Toutefois, Lamuka appelle à intégrer pleinement la Résolution 2773 du Conseil de sécurité de l’ONU dans l’accord final. Selon la coalition, cette résolution constitue un socle indispensable pour atteindre une paix durable dans l’Est de la RDC.

Adoptée dans un contexte de forte instabilité régionale, la Résolution 2773 exige en ses points clés :

  • Le retrait immédiat et sans condition du M23 des villes de Goma, Bukavu et de toutes les zones occupées ;

  • Le retrait simultané des forces rwandaises du territoire congolais.

Pour Lamuka, la mise en œuvre rigoureuse de ces dispositions est cruciale pour restaurer la souveraineté nationale, encourager un dialogue sincère et prévenir l’échec du processus de réconciliation.

« L’absence de mesures fermes sur ces points essentiels risque de fragiliser les efforts en cours. La Résolution 2773 impose des lignes rouges claires pour parvenir à une paix réelle et durable », avertit la coalition dans son communiqué.

Lamuka réitère sa volonté de collaborer avec les parties nationales et internationales engagées dans le processus, tout en insistant sur la nécessité d’un cadre inclusif, cohérent et contraignant.

« Seule une volonté politique inébranlable, adossée à un engagement international fort, pourra faire de ce tournant diplomatique un jalon historique vers la paix en RDC », conclut le texte.

Déclaration de Doha : Kinshasa affirme sa souveraineté face au M23

Les principaux journaux congolais reviennent ce lundi sur la Déclaration de Doha, signée le 19 juillet 2025 entre le gouvernement de la RDC et les rebelles de l’AFC/M23, avec le soutien du Qatar et des États-Unis. Ce texte, présenté comme un jalon majeur dans la résolution du conflit à l’Est, divise la presse entre optimisme mesuré et prudence stratégique.

Le quotidien Le Phare salue une victoire politique du président Tshisekedi. Sous le titre « Tshisekedi gagne le pari du retour de la paix durable », le journal voit dans cette signature l’aboutissement d’un long parcours diplomatique, entamé depuis Nairobi jusqu’à Washington, en passant par Luanda, Addis-Abeba et Pretoria. Pour Le Phare, ceux qui doutaient de l’engagement du Chef de l’État doivent désormais réviser leur jugement.

Kinshasa impose ses conditions, le M23 sommé de se retirer

Infos 27 insiste sur le fait que la Déclaration de Doha ne signifie pas reddition, mais affirmation d’une ligne de conduite claire. Le gouvernement congolais, par la voix de Patrick Muyaya, porte-parole officiel, précise que la RDC ne recule pas : elle exige le retrait du M23, la restauration de l’autorité de l’État et la protection des civils.

« Nos exigences sont dictées par la Constitution, le droit international et les résolutions de l’ONU », rappelle Muyaya. Pour Kinshasa, il ne s’agit pas de négocier la souveraineté mais de baliser les conditions d’un accord final, dont la Déclaration de principes n’est que la boussole.

Dans Le Quotidien, le porte-parole du gouvernement insiste : « L’ordre constitutionnel doit être respecté. Nous devons avoir le contrôle total des territoires sous influence du M23. Le retrait doit être vérifiable. »

Une double dynamique de paix entre Doha et Washington

EcoNews met en lumière la dimension internationale du processus. Le journal rappelle que l’accord de paix entre la RDC et le Rwanda, signé le 27 juin à Washington, constitue le premier pilier. La Déclaration de Doha, selon cet hebdomadaire, en est le prolongement direct.

Cette double dynamique diplomatique, portée par les États-Unis et le Qatar, laisse entrevoir une issue possible au conflit, malgré des tensions persistantes dans les zones occupées par le M23. La Prospérité, pour sa part, estime que le chemin de la paix se précise, même si les obstacles restent nombreux.

Entre critiques, espoir et mobilisation populaire

Comme le note La Référence Plus, les réactions à cette Déclaration sont multiples. Certains l’interprètent comme un tournant, d’autres dénoncent une capitulation. Mais pour la population de l’Est, longtemps victime des violences, l’enjeu est clair : obtenir enfin une paix durable, quelles que soient les lectures politiques du texte.

Masina lance ses travaux contre les inondations avec le soutien de l’UE et de la France

Le quartier Abattoir, dans la commune de Masina, entre officiellement dans une nouvelle ère. Ce jeudi 17 juillet 2025, le gouverneur de Kinshasa, Daniel Bumba Lubaki, a lancé les travaux de réhabilitation des voiries structurantes et des caniveaux de drainage d’eaux pluviales, avec le soutien de partenaires clés : la France, l’Union européenne et l’AFD.

La délégation – composée notamment de l’ambassadeur de France Rémi Maréchaux, de la directrice de l’AFD Safia Ibrahim et du représentant de l’UE Antonio Capone – a d’abord visité les chantiers de Salongo, dans la commune de Limete, avant de se rendre à Masina.

Des infrastructures modernes pour prévenir les inondations à Kinshasa

Le gouverneur a posé la première pierre pour la réhabilitation des avenues Abattoir Vallée (1 374 m) et Yamfu (1 263 m). Ces voies bénéficieront d’un profil en “toit inversé” (forme en V), conçu pour canaliser les eaux vers un drain central couvert, évitant leur stagnation. Le revêtement sera en béton de ciment, et les trottoirs construits avec des matériaux recyclés locaux et certifiés résistants.

Dans son discours, Daniel Bumba a salué l’appui de l’UE et de la France dans la lutte contre les inondations à Kinshasa, l’assainissement et la gestion des déchets. Il a invité les Kinois à s’approprier ces projets structurants, moteurs de développement urbain et de bien-être collectif.

L’UE et la France misent sur la résilience urbaine

Inscrits dans le cadre du projet To Petola, ces travaux visent à renforcer la résilience urbaine des quartiers vulnérables comme Salongo, N’danu (Limete) et Abattoir (Masina). L’ambassadeur Rémi Maréchaux a souligné leur impact sur la qualité de vie, tandis qu’Antonio Capone a renouvelé l’engagement de l’UE à accompagner les ambitions du gouverneur pour une ville plus sûre et durable.

Le bourgmestre de Masina, Joseph Shiki Katumba, a exprimé sa gratitude face à cette dynamique nouvelle, espérant que ces chantiers mettront un terme à des années de souffrance liées aux inondations récurrentes.

À Kolwezi, un bourgmestre donne l’exemple : des véhicules remis à la police avec les fonds communaux

Dans un pays souvent critiqué pour la mauvaise gestion des entités locales, une lueur d’exemplarité vient de Kolwezi. Le bourgmestre de la commune de Manika, Maître Thierry Mujinga, a remis plusieurs véhicules neufs à la police de la circulation routière, financés entièrement sur les fonds propres de la commune.

Oui, vous avez bien lu. Il ne s’agit ni d’un appui de la ville, ni de la province du Lualaba, encore moins du gouvernement central à Kinshasa. C’est la commune elle-même qui a pris ses responsabilités pour améliorer la sécurité routière et la régulation du trafic.

Fifi Masuka salue une initiative « responsable et exemplaire »

La gouverneure du Lualaba, Fifi Masuka, n’a pas manqué de féliciter cette action. Elle a qualifié le geste de « responsable et exemplaire », appelant les autres communes à suivre le pas. Un appel à la prise d’initiative locale, qui rappelle que les solutions peuvent émerger sans toujours attendre Kinshasa.

Un message clair aux bourgmestres passifs, notamment à Kinshasa

Ce geste du bourgmestre de Kolwezi vient aussi pointer du doigt l’inaction dans d’autres coins du pays. À Kinshasa, certains bourgmestres préfèrent briller sur les réseaux sociaux, multipliant les débats, pendant que leurs municipalités croulent sous l’insalubrité.

Certes, tous n’ont pas les mêmes moyens. Mais comment expliquer que certaines communes encaissent des recettes régulières et n’arrivent même pas à rafraîchir la peinture de leur maison communale ? Dans plusieurs quartiers de la capitale, on se demande même si le bourgmestre est réellement sur place ou s’il travaille à distance…

Le cas du bourgmestre de Kolwezi prouve qu’avec de la volonté politique, de la rigueur budgétaire et un réel souci de service public, même les structures locales peuvent produire un impact concret. Reste à espérer que d’autres s’en inspireront.

Delphin Lama réhabilité à la tête de l’ACE malgré de lourds soupçons

Le Directeur de Cabinet du Président de la République, Antony Nkuzo, a ordonné la levée de la suspension de Delphin Lama, Directeur général de l’Agence Congolaise de l’Environnement (ACE). Cette décision, transmise à la ministre d’État Ève Bazaiba dans une correspondance datée de ce vendredi 18 juillet 2025, relance un dossier sensible.

Selon le document, l’analyse interne menée par la Présidence estime que les éléments justifiant la suspension nécessitent des preuves supplémentaires. Par conséquent, la réhabilitation de Delphin Lama à la tête de l’ACE est effective, dans le but de garantir la continuité du service public.

Une enquête toujours en cours sur la gestion de l’ACE

L’affaire Delphin Lama ACE reste cependant loin d’être close. L’Inspecteur Général des Finances a été officiellement chargé de diligenter un audit financier et administratif complet.

Pour rappel, le DG avait été suspendu suite à des accusations graves, notamment la vente présumée de certificats environnementaux, des irrégularités financières, ainsi que la location suspecte de bureaux à 15 000 dollars par mois, alors que l’agence dispose de ses propres locaux. Un budget de 300 000 dollars aurait également été engagé sans validation du conseil d’administration.

Une gouvernance environnementale sous pression

Le retour de Delphin Lama à l’ACE intervient dans un contexte tendu, où la gouvernance environnementale congolaise est déjà fragilisée. Si la levée de la suspension vise à préserver la stabilité de l’institution, elle pourrait aussi raviver les tensions syndicales internes et relancer le débat sur l’impunité.

En attendant les conclusions de l’audit, cette affaire polarise les observateurs, entre présomption d’innocence et exigence de transparence.

Passeport biométrique RDC : relance des captures dès le 21 juillet dans les provinces

Le processus de modernisation du passeport biométrique en RDC connaît une avancée majeure. Ce jeudi 17 juillet, le ministère des Affaires étrangères a lancé à Kinshasa une session de formation destinée aux chefs de centres de capture venus de toutes les provinces du pays.

Cette formation stratégique s’inscrit dans le cadre du déploiement du nouveau système de passeport biométrique RDC, avec pour objectif de garantir une collecte fiable, sécurisée et homogène des données personnelles et biométriques sur l’ensemble du territoire national.

Une relance prévue dès la semaine du 21 juillet

D’après des sources internes au ministère, les opérations de capture pour le passeport biométrique reprendront dans les chefs-lieux provinciaux dès la semaine du 21 juillet 2025. Cette reprise marque la fin d’une longue période d’interruption, et représente une bouffée d’oxygène pour les citoyens vivant en dehors de la capitale.

« Cette formation est un préalable indispensable pour assurer la qualité, la fiabilité et la confidentialité des données collectées », a confié un cadre du ministère, insistant sur l’importance de ce volet dans le succès du programme.

Vers une délivrance plus fluide et plus accessible

En relançant les captures biométriques, les autorités congolaises entendent rendre le passeport biométrique RDC plus accessible à tous. Ce processus vise également à renforcer la transparence, à moderniser les services d’identification, et à répondre à une forte demande nationale.

Avec cette étape cruciale franchie, l’administration espère offrir un service plus fluide, plus rapide, et mieux réparti sur le territoire.

Le FMI préoccupé par le niveau élevé des dépenses publiques en RDC

Dans ses rapports publiés ce mercredi 16 juillet 2025, le Fonds monétaire international (FMI) reconnaît les progrès de la RDC dans la gestion des finances publiques, mais alerte sur une faille persistante : le recours massif aux procédures d’urgence dans l’exécution des dépenses publiques.

Malgré un décret gouvernemental et une circulaire du Premier ministre censés encadrer cette pratique, le FMI constate qu’au premier trimestre 2025, 15,6% des dépenses ont été engagées en procédure d’urgence, bien au-dessus des standards acceptables.

Les dépenses sécuritaires pèsent lourd sur le budget

Le gouvernement congolais justifie ce taux par les dépenses exceptionnelles liées à la guerre dans l’Est, qui représentaient à elles seules 90% des dépenses hors procédure normale. Kinshasa fait notamment face à une perte estimée à 3,7% de ses recettes en raison de l’occupation partielle de l’Est du pays par le groupe AFC-M23.

Ce contexte de crise oblige l’État à mobiliser des fonds rapidement, au détriment des procédures classiques. Toutefois, les autorités assurent que toutes les dépenses d’urgence seront régularisées.

Vers une réduction progressive du recours à l’urgence

Dans une correspondance officielle adressée au FMI, la Première ministre Judith Tuluka Suminwa s’engage à ramener ce taux sous les 8% d’ici fin 2025. Le gouvernement mise également sur les accords de paix en négociation pour permettre un apaisement de la situation sécuritaire à l’Est et, par conséquent, une meilleure maîtrise des dépenses publiques en RDC.

Le FMI partage ce vœu et estime que la stabilité est la clé pour réduire durablement le recours aux procédures d’exception.

M23 Doha : Les négociations s’intensifient entre la RDC, le Rwanda et les États-Unis sous médiation qatarie

Les pourparlers de paix entre la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda, dans le cadre du processus M23 Doha, ont franchi un nouveau cap ce jeudi 17 juillet 2025. L’émissaire américain pour l’Afrique, Massad Boulos, a rencontré à Doha le ministre d’État qatari aux Affaires étrangères, Dr Mohammed bin Abdulaziz Al Khulaifi, pour évaluer les efforts conjoints vers une paix durable dans l’est de la RDC.

Au menu des discussions : la situation sécuritaire explosive dans les Kivus, les avancées du processus diplomatique lancé après l’accord de cessez-le-feu signé à Washington en juin, et la coordination entre Doha et Washington pour faire aboutir un accord de paix global avec le M23 avant fin juillet.

RDC et Rwanda sous pression, le Qatar renforce son rôle de médiateur

Parallèlement, le ministre qatari de l’Intérieur, Cheikh Abdulaziz bin Faisal Al Thani, a reçu séparément Vincent Biruta (Rwanda) et Jacquemain Shabani Lukoo (RDC). Ces rencontres visent à renforcer la coopération bilatérale et les mécanismes de coordination sécuritaire, alors que les combats se poursuivent à Rutshuru, Masisi et Nyiragongo, malgré la diplomatie en cours.

Sur place, les FARDC affrontent toujours les rebelles de l’AFC/M23, que Kinshasa accuse d’être appuyés par le Rwanda. Le M23, de son côté, dénonce le déploiement massif des troupes congolaises et burundaises et parle de “crimes contre l’humanité”.

Vers une déclaration de principes à Doha malgré les combats

Les discussions directes entre la délégation congolaise conduite par Sumbu Sita Mambu et celle du M23, représentée par Benjamin Bonimpa, visent une déclaration de principes qui servirait de base à un accord de paix durable. Ce dialogue reste soutenu par le Qatar et l’Union africaine, avec le soutien actif des États-Unis.

Selon Washington, une prochaine rencontre à la Maison Blanche entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame devrait venir sceller les termes finaux de cet accord.

Mais l’issue reste incertaine tant que les armes parlent à l’Est. La question demeure : le processus M23 Doha peut-il vraiment imposer la paix face à la réalité du terrain ?

TENASOSP : Une révolution dans l’orientation scolaire

Ce jeudi 17 juillet 2025, Son Excellence Malu Raïssa a officiellement lancé le TENASOSP (Test National de Sélection et d’Orientation Scolaire et Professionnelle) à l’école Révérend Kim de Kinshasa.

Ce test marque une étape déterminante dans le système éducatif congolais. Il a pour but de guider chaque élève de 8e année vers un parcours scolaire ou professionnel cohérent, en tenant compte de ses aptitudes personnelles, de ses ambitions et surtout, des besoins prioritaires du pays.

 Le TENASOSP : un outil stratégique pour l’avenir des élèves

En introduisant ce test d’orientation scolaire en RDC, le gouvernement pose les bases d’une école centrée sur le développement des talents individuels. C’est un tournant pour l’éducation nationale : au-delà du simple passage de classe, il s’agit désormais de construire un avenir aligné avec les réalités du marché de l’emploi et les défis nationaux.

Préparer les citoyens de demain

Avec le TENASOSP, la RDC veut former des citoyens responsables et compétents, capables de contribuer efficacement au développement du pays. Ce test devient un levier d’équité, permettant à chaque élève, où qu’il se trouve, de bénéficier d’un accompagnement adapté dès le secondaire.

Le lancement du TENASOSP est donc bien plus qu’un test : c’est le début d’une transformation profonde de l’orientation scolaire en RDC, vers une école de l’avenir, au service des jeunes et du développement national.