Rencontre entre le Président Tshisekedi et le Cardinal Ambongo : Unis pour le bien du peuple Congolais

Ce jeudi à la Cité de l’Union africaine, le Président Félix Tshisekedi s’est entretenu pendant près de deux heures avec le Cardinal Fridolin Ambongo, en présence du Chargé d’affaires de la Nonciature, Mgr Andriy Yevchuk. Au cours de cette rencontre, le Cardinal Ambongo a souligné que « plus de malentendu que de vrai problème » existe entre les deux parties, et a affirmé que le souci du Président Tshisekedi est le bien du peuple congolais.

Le Cardinal a déclaré : « Le Président s’implique corps et âme pour que ce pays retrouve sa sérénité et sa respectabilité sur la scène internationale. Notre souci est aussi le bien de ce même peuple. » Il a insisté sur la nécessité d’une collaboration étroite entre l’Église et l’État pour surmonter les défis actuels auxquels la République Démocratique du Congo est confrontée.

En conclusion, le Cardinal Ambongo a affirmé : « Nous sommes condamnés à travailler ensemble main dans la main pour le bien-être de ce peuple et pour le bien de notre pays qui est aujourd’hui en péril à cause de la voracité des pays voisins que nous connaissons. » Cette rencontre marque une étape importante dans la coopération entre les autorités politiques et religieuses de la RDC, toutes deux engagées dans la quête de la paix et de la prospérité pour le peuple congolais.

RDC-Mauritanie : Rencontre entre le Président Tshisekedi et l’Envoyée Spéciale du Président Ghazouani

Ce mercredi à la Cité de l’Union africaine, le Président Félix Tshisekedi a reçu Dr Coumba Ba, ministre conseillère et envoyée spéciale du Président mauritanien Mohamed Ould El-Ghazouani.

Lors de cette rencontre, plusieurs sujets ont été abordés, notamment la candidature de la Mauritanie à la tête du Centre africain de formation et de recherche administratives pour le développement (CAFRAD), la coopération bilatérale, et la situation sécuritaire dans l’Est de la République Démocratique du Congo (RDC).

« Je suis porteur du message de son frère, le Président Ghazouani, qui m’a chargée de venir lui parler de la candidature de la Mauritanie pour le poste de Directeur général du CAFRAD », a déclaré Dr Coumba Ba. Elle a également exprimé la confiance de son président en l’estime de Félix Tshisekedi pour son homologue mauritanien et en son engagement pour l’intégrité africaine, espérant ainsi obtenir son soutien.

Sur le plan de la coopération entre la Mauritanie et la RDC, Dr Ba a souligné que sa visite à Kinshasa est un signal fort annonçant un futur renforcement du partenariat entre les deux pays.

En conclusion, Dr Coumba Ba a rappelé l’engagement du Président Ghazouani, en tant que Président en exercice de l’Union africaine (UA), à soutenir le Président Tshisekedi dans ses efforts pour restaurer la paix dans l’Est de la RDC. Lors de leur rencontre en mars dernier à Nouakchott, le Président Ghazouani avait promis de ne ménager aucun effort pour aider à ramener la paix dans cette région troublée

Accord FMI-RDC : Déblocage de la dernière tranche de crédit et révision du budget 2024

Début mai, le Fonds monétaire international (FMI) et les autorités de la République démocratique du Congo (RDC) ont conclu un accord pour débloquer la sixième et dernière tranche d’un crédit de 1,5 milliard de dollars sur trois ans. Cet accord marque la reconnaissance par le FMI des réformes clés mises en place à Kinshasa. Parallèlement, les deux parties ont travaillé sur une révision à la baisse du budget congolais pour 2024.

La révision de la loi de finances 2024 est désormais confirmée en RDC, après une collaboration avec le FMI. Selon des sources gouvernementales, cette révision doit refléter les efforts accrus en matière de sécurité. Comme l’année précédente, les dépenses exceptionnelles pour la sécurité resteront très élevées en raison des violences persistantes, particulièrement dans l’est du pays.

L’objectif de cette révision est également de protéger le niveau des investissements tout en maîtrisant les dépenses de fonctionnement. Le président de la République a demandé à la Première ministre, Judith Suminwa, de tenir compte de ces priorités dans la composition et l’animation du nouveau gouvernement.

De plus, la loi de finances révisée devra inclure les recettes provenant de l’avenant à l’accord signé entre le gouvernement congolais et un groupement d’entreprises chinoises le 14 mars 2024. Ce « contrat du siècle » engage la coentreprise Sicomines à un apport annuel de 300 millions de dollars, qui sera intégré dans le nouveau budget pour une meilleure traçabilité des recettes et des dépenses.

Kinshasa renforce son programme d’assainissement avec de nouveaux engins

Le gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a réceptionné mercredi un lot de plus de 200 engins d’assainissement dans la concession de TP à Limete Funa. Ces engins, bloqués à la douane pendant près de deux mois après leur fabrication sur mesure en Turquie, permettront à l’entreprise Albayrak d’accélérer le nettoyage des rues de Kinshasa et l’évacuation des déchets.

Lors de la réception, le gouverneur Ngobila a souligné que ces engins résultent d’un partenariat de près de quatre ans entre la ville de Kinshasa et la société turque Albayrak, spécialisée dans l’assainissement et la gestion des déchets. « Nous sommes fiers de voir ce projet se réaliser malgré les difficultés rencontrées pour le dédouanement de ces véhicules, qui étaient arrivés au port de Matadi depuis février dernier. Ce processus a été un véritable parcours du combattant, » a-t-il déclaré.

La ville de Kinshasa avait déjà mis à disposition de la société Albayrak le garage TP situé à la 1ère Rue Limete Funa, incluant des sections pour l’administration, la technique, et l’atelier, ainsi qu’une loge pour les travailleurs, sur une surface de 2214,72 mètres carrés. Concernant l’entretien des engins, le gouverneur a assuré que 12 containers de pièces de rechange sont déjà arrivés à Kinshasa. Il a également exhorté son successeur à bien utiliser ces engins pour le bien-être des Kinois et à continuer le partenariat avec Albayrak.

Kinshasa produit environ 10 000 tonnes de déchets par jour, dont 40 % sont des plastiques jetés dans les rues. La quantité de déchets produite par personne est d’environ 0,7 kg/jour, avec un taux de collecte organisé estimé à 25 %. Légalement, les municipalités sont responsables de la collecte, du transport et de l’élimination des déchets, ainsi que de la construction d’installations de traitement, mais elles manquent souvent de moyens financiers nécessaires pour accomplir ces tâches.

Des cadres légaux pour la gestion des déchets existent, tels que l’édit 003/2013 relatif à l’assainissement et à la protection de l’environnement, et l’ordonnance-loi n° 13/001 fixant les impôts, droits, taxes et redevances des provinces et des entités territoriales décentralisées. La Politique nationale d’assainissement (PoNA) de 2013 et une stratégie nationale d’assainissement de 2017, bien que non encore appliquée, sont également en place pour guider ces efforts.

La Première Dame exprime ses condoléances suite à l’inhumation des victimes du bombardement de Mugunga

La Première Dame a récemment partagé ses condoléances émues sur son compte X, à l’occasion de l’inhumation des victimes du tragique bombardement de Mugunga, dans la province du Nord-Kivu, en République démocratique du Congo.

Dans un message poignant, elle a exprimé ses condoléances les plus attristées aux familles des victimes de l’attaque meurtrière qui a touché trois sites de déplacés, notamment les quartiers du Lac-vert, Lushagala et de Mugunga à Goma. Au moins 35 vies ont été fauchées par les terroristes du M23, soutenus par le Rwanda.

La Première Dame a souligné l’horreur de la situation, mettant en lumière le massacre de nourrissons, d’enfants et de femmes innocents, ainsi que la détresse des familles entières touchées par cette tragédie. Cette attaque cruelle ravive les souvenirs douloureux des années de guerre d’agression menée par l’armée rwandaise en RDC, laissant derrière elle des cicatrices profondes et indélébiles.

Elle a également appelé à la justice, déclarant qu’aucune justification ne pouvait être trouvée pour de tels crimes odieux. La Première Dame a exprimé sa solidarité avec les familles endeuillées, partageant leur douleur, leur chagrin et leur colère. Elle a assuré que ces actes barbares ne seraient jamais oubliés et que ceux qui en sont responsables devront répondre de leurs actes devant la justice.

En ces moments difficiles, la Première Dame a offert son soutien et sa compassion aux victimes et à leurs proches, et a réaffirmé l’engagement ferme de toute la nation à lutter pour la justice et à œuvrer pour un avenir de paix et de sécurité pour tous les citoyens de la République démocratique du Congo.

Des funérailles émouvante pour les victimes des bombardements à Mugunga

Dans une atmosphère lourde de tristesse et de désolation, les victimes des bombardements du camp de déplacés de Mugunga, dans le Nord-Kivu, ont été inhumées ce mercredi 15 mai au nouveau cimetière de Kibati. Les hommages rendus par le gouvernement et la population ont marqué un moment poignant à l’esplanade du stade de l’Unité.

Le nouveau cimetière, selon les autorités congolaises, est un mémorial dédié à toutes les victimes de la guerre du M23, soutenu par le régime de Paul Kagame. Dans son discours poignant lors de la cérémonie, le ministre de la solidarité nationale et des actions humanitaires, Modeste Mutinga, a exprimé la volonté inébranlable des autorités à œuvrer pour le retour de la paix dans l’Est de la RDC.

« La mort de ces 35 compatriotes a ébranlé la nation congolaise toute entière, augmentant la vulnérabilité des personnes déplacées dont les abris ont été incendiés et détruits », a déclaré le ministre. Il a également rappelé l’urgence de la situation en soulignant l’image déchirante de la petite Grâce, miraculée mais tragiquement orpheline.

Le ministre a pointé du doigt le régime de Paul Kagame, dénonçant avec véhémence la barbarie des attaques et appelant à la justice pour les crimes commis. « Cela doit cesser et cela cessera », a-t-il martelé, promettant que les responsables ne resteront pas impunis.

Les funérailles ont été marquées par des discours poignants et des prières émouvantes, alors que les cercueils blancs drapés du drapeau national ont été disposés pour les derniers hommages. L’émotion était palpable sur les visages des familles endeuillées et des citoyens présents, tandis que les représentants religieux ont tour à tour offert des prières pour les âmes des disparus.

Malgré la douleur et la peine, l’appel à la solidarité nationale a été lancé, avec l’assurance que le peuple congolais n’est pas seul dans cette épreuve. « Que ce deuil réveille en nous une dynamique de solidarité nationale », a souligné Modeste Mutinga, appelant à l’unité face à l’agression rwandaise.

Alors que les victimes reposent désormais en paix, l’espoir d’un avenir meilleur persiste, avec la détermination de tout un pays à mettre fin aux violences et à construire un avenir de paix et de prospérité pour les générations futures.

Lancement du forum sur le financement et la couverture santé universelle en RDC

Le ministère de la Santé, de l’Hygiène et de la Prévention, en partenariat avec le Conseil National de la Couverture Santé Universelle (CNCSU) en République Démocratique du Congo, a inauguré le Forum sur le Financement et la Couverture Santé Universelle le mardi 14 mai 2024 à Kinshasa. L’objectif principal de cet événement est de renforcer le partenariat afin de lutter contre la morbi-mortalité menaçant la population congolaise.

Sous le thème « Achat Stratégique des Soins de Santé Primaires en RDC », ce forum rassemble de nombreux acteurs nationaux et provinciaux pour des échanges sur quatre jours, du 14 au 17 mai 2024. Les discussions porteront sur divers sujets, notamment :

  • Les concepts clés du financement de la santé ;
  • Les défis de la mobilisation des ressources pour la santé ;
  • Les défis de la mobilisation du secteur informel ;
  • Les défis de la mise en commun des ressources ;
  • Comment progresser vers un achat plus stratégique ;
  • Comment protéger les ressources pour les soins de santé primaires.

Dans son discours, le coordinateur national du CNCSU, Polydor Mbungani, a souligné l’importance de l’accès aux soins de santé primaires prôné par le comité de pilotage du CNCSU. Il a expliqué : « Les soins de santé primaires font partie intégrante de la couverture santé universelle. Nous nous concentrons d’abord sur les investissements visant la population de base, avant de monter vers des infrastructures plus larges. »

Il a également ajouté : « Quant au financement global de la santé, il s’élève actuellement à environ 2 milliards de dollars pour la couverture santé universelle de manière générale. Nous visons à améliorer le financement de l’État lui-même pour dépasser ce cap, afin d’être plus efficace en matière de couverture santé universelle. »

Selon le Dr Sylvain Yuma Ramazani, Secrétaire Général au ministère de la Santé Publique, de l’Hygiène et de la Prévention, l’objectif ultime de ces échanges est de fournir des soins de qualité à la population. Il a déclaré : « Ce forum revêt une importance capitale car il aborde une question essentielle liée au financement de la santé dans le contexte de l’opérationnalisation maximale de la couverture santé universelle. »

Ces échanges réunissent de nombreux partenaires techniques et financiers, dont l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la Banque Mondiale en RDC et le GFF. Pour rappel, le CNCSU, présidé par le Chef de l’État lui-même, vise à assurer l’accès de tous les Congolais aux soins de santé de base sans risquer de ruine financière.

Accord pour le développement du barrage Grand Inga

L’Agence pour le Développement et la Promotion du Projet Grand Inga (ADPI-RDC) a signé un protocole d’accord avec la société nigériane de gaz et de pétrole Natural Oilfield Services Limited (NOFSL) pour la construction d’une des phases du barrage Grand Inga. Cet accord, signé le 9 mai dernier et révélé par un communiqué consulté mardi par l’Agence congolaise de presse (ACP), engage les deux parties à mener des études techniques, environnementales, sociales et financières pour la construction d’une phase du barrage Grand Inga, avec une capacité minimale de 7 000 MW sur un potentiel total de 42 000 MW.

Projets Associés et Impact Économique

En plus des études liées au barrage Grand Inga, NOFSL prévoit la construction de plusieurs infrastructures importantes :

  • Fonderie d’aluminium : Capable de produire 4 millions de tonnes par an, la construction se fera en huit phases de 500 000 tonnes chacune.
  • Raffinerie d’alumine : D’une capacité de 8 millions de tonnes par an.
  • Terminal portuaire : Destiné à faciliter l’importation des équipements et des matières premières.

La mise en œuvre de ces projets devrait favoriser la création d’environ 50 000 emplois directs et indirects pour la population congolaise. Ce méga-projet marque une étape cruciale dans l’accroissement de l’accès à l’électricité et le renforcement du tissu économique de la République démocratique du Congo.

Contexte et Expertise de NOFSL

Natural Oilfield Services Limited est une société pétrolière et gazière basée au Nigéria, spécialisée dans la production, l’exploration et le développement de ressources énergétiques. Elle exploite avec succès les principaux champs de gaz et de pétrole au Nigéria, l’une des grandes puissances économiques de l’Afrique de l’Ouest.

Modernisation des Installations d’Inga

Par ailleurs, un nouveau transformateur destiné à la modernisation du turbo-alternateur 5 de Inga 2 (G25), inauguré en 1982, est arrivé sur le site d’Inga dans le sud-ouest de la RDC, comme l’a confirmé mercredi la Société nationale d’électricité (Snel). Les turbines de la série B (G25 à G28) fabriquées par Siemens ont mieux fonctionné que celles de la série A fabriquées par l’Atelier des Câbleries électriques de Charleroi (ACEC), qui avaient posé des problèmes de fonctionnement depuis leur inauguration. Ces « antonovs » ont toujours causé des soucis de fonctionnement à l’opérateur public congolais, la Snel.

Ce vaste projet de développement d’infrastructures énergétiques et industrielles promet de transformer le paysage économique et énergétique de la RDC, renforçant ainsi son rôle de leader régional en matière d’énergie durable

Nouveau projet d’infrastructure en RDC

La République démocratique du Congo (RDC) s’apprête à réaliser un projet d’envergure : la construction d’un barrage hydroélectrique de 7 000 mégawatts, une usine de fonderie d’aluminium, une raffinerie d’aluminium, ainsi qu’un terminal portuaire. Ce projet a été officialisé par la signature d’un protocole d’accord entre l’Agence pour le développement et la promotion du projet Grand Inga (ADPI-RDC) et la société Natural Oilfield Services Limited (NOFSL).

Selon le communiqué publié le mardi 14 mai 2024, NOFSL s’engage à mener des études techniques, environnementales, sociales et financières pour la construction de cette phase du projet Grand Inga, qui vise une capacité minimale de 7 000 mégawatts sur un potentiel total de 42 000 mégawatts.

Ce projet ambitieux prévoit également la construction d’une fonderie d’aluminium capable de produire 4 millions de tonnes par an, divisée en huit phases de 500 000 tonnes chacune. Une raffinerie d’aluminium, d’une capacité de 8 millions de tonnes par an, sera également mise en place, accompagnée d’un terminal portuaire pour faciliter l’importation des équipements et des matières premières.

Amélioration de l’Accès à l’Électricité et Création d’Emplois

Ce méga-projet s’inscrit dans la vision du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, d’améliorer l’accès à l’électricité et de renforcer l’économie nationale. La mise en œuvre de ces infrastructures devrait créer environ 50 000 emplois directs et indirects pour la population congolaise.

Pour rappel, une fonderie d’aluminium est une usine où le métal est fondu, versé dans des moules et solidifié pour produire divers objets métalliques. Cette initiative contribuera non seulement à l’industrialisation du pays mais aussi à son développement économique durable.

Renforcement du Désarmement en Ituri : La Grande-Bretagne et la RDC Main dans la Main

Lors d’une audience avec le vice-Premier ministre de la défense nationale, Jean-Pierre Bemba, le mardi 14 mai 2024 à Kinshasa, Alyson King, ambassadrice de la Grande-Bretagne en République Démocratique du Congo (RDC), a déclaré que les discussions ont principalement porté sur le soutien aux efforts de Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des anciens combattants dans la province de l’Ituri, suite à l’accord conclu avec cinq groupes armés.

« Nous croyons fermement en l’importance de démontrer qu’il existe un avenir pacifique et rentable pour les anciens combattants, » a-t-elle affirmé. « Il est essentiel de renforcer les partenariats concrets pour accompagner le Programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion Communautaire et Stabilisation (P-DDRCS) en RDC, en particulier en Ituri. »

La rencontre a également abordé la signature, le 26 avril, de l’accord de paix et de cessation des hostilités par les communautés et les groupes armés opérant en Ituri (nord-est de la RDC), ainsi que la situation sécuritaire en général.

Répondant à une question concernant la récente attaque par le M23/RDF du camp des déplacés de Mugunga, près de Goma, dans la province du Nord-Kivu, Mme King a déclaré : « Nous sommes partenaires de longue date de la RDC et nous condamnons fermement les violences contre le camp des déplacés près de Goma. La violence contre les civils n’est jamais acceptable… nous appelons toutes les parties prenantes à respecter le droit international humanitaire. »