AS Monaco et la RDC s’unissent pour un projet d’envergure

Le club de Ligue 1, AS Monaco, a annoncé ce mardi 24 juin 2025 une collaboration stratégique de 3 ans avec le ministère des Sports et Loisirs de la République Démocratique du Congo, autour du projet « R.D.Congo, cœur de l’Afrique ». Ce partenariat vise un objectif clair : accélérer le développement du football en RDC.

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Une vision globale pour transformer le football congolais

L’accord s’articule autour de deux piliers essentiels :

Développement du football en RDC

L’AS Monaco mettra son expertise reconnue en matière de formation au service du football congolais. L’objectif est de professionnaliser les structures existantes, de former les jeunes talents et de bâtir un écosystème performant et durable.

Ce pilier comprend :

  • Le renforcement des compétences locales

  • La structuration des parcours de formation

  • L’accompagnement des jeunes joueurs congolais

Rayonnement international de la RDC grâce au partenariat AS Monaco

Grâce à la portée médiatique mondiale du club monégasque, la RDC bénéficiera d’une visibilité accrue. La marque « R.D.Congo, cœur de l’Afrique » apparaîtra :

  • Sur la manche du maillot de l’AS Monaco (en Ligue 1 et en Ligue des Champions)

  • Sur les maillots de l’Academy (U19, U17…)

  • Sur tous les supports digitaux du club, suivis par plus de 26 millions d’abonnés dans le monde.

Une vision partagée entre sport, culture et développement

« Ce n’est pas qu’un simple partenariat, c’est une vision à 360 degrés », a déclaré Didier Budimbu, ministre congolais des Sports et Loisirs. Il voit dans ce projet un levier de transformation sociale, économique et culturelle, au service de la jeunesse congolaise.

De son côté, Thiago Scuro, directeur général de l’AS Monaco, a salué la confiance des autorités congolaises et affirmé l’engagement du club à contribuer au développement du football en RDC.

Un lien fort entre la RDC et l’AS Monaco

Le partenariat s’inscrit dans une histoire déjà marquée par plusieurs figures congolaises ayant brillé à Monaco :

  • Shabani Nonda, meilleur buteur de Ligue 1 en 2003

  • Cédric Mongongu, international congolais formé au club

Le club de la Principauté souhaite ainsi renforcer ce lien historique et offrir de nouvelles opportunités aux futurs talents de la RDC.

Un moteur d’influence pour l’avenir du pays

Soutenu par le président Félix Tshisekedi, ce partenariat inédit place le sport au cœur de la stratégie d’influence et de développement du pays.

L’ambition est claire :
Former des talents, développer des valeurs et bâtir une image forte de la RDC sur la scène internationale.

Cette alliance stratégique entre l’AS Monaco et le gouvernement congolais marque une nouvelle ère pour le développement du football en RDC. Plus qu’un partenariat, c’est une opportunité unique de faire rayonner les talents, la culture et l’identité congolaise dans le monde entier.

Démission Constant Mutamba : Tshisekedi tranche dans le vif

Le président de la République, Félix Tshisekedi, a officiellement pris acte de la démission de Constant Mutamba, ministre d’État en charge de la Justice, le 19 juin 2025. Dans une lettre adressée à la Première ministre, il a demandé que toutes les mesures soient prises pour assurer la continuité des services au ministère.

Cette décision intervient deux jours après que Mutamba a lui-même présenté sa démission, dans un contexte judiciaire très tendu. Il est en effet accusé d’avoir détourné 19 millions de dollars issus d’un marché public douteux.

Démission Constant Mutamba : au cœur d’un scandale financier majeur

Le dossier repose sur un contrat de 29 millions de dollars lié au Fonds de réparation des victimes des activités illicites de l’Ouganda (Frivao). Le ministère de la Justice, sous sa tutelle, aurait détourné une grande partie de ces fonds.

Le 15 juin, l’Assemblée nationale a levé son immunité parlementaire. Deux jours plus tard, la justice lui a interdit de quitter Kinshasa. Une notification officielle du procureur général a été envoyée à la Direction générale de la migration.

Une stratégie d’anticipation face aux poursuites

Acculé, Constant Mutamba a choisi de se retirer. Il affirme être la cible d’un complot politique, tout en revendiquant un bilan positif à la tête du ministère. Il reste néanmoins poursuivi devant la Cour de cassation, conformément à l’article 145 du Code pénal congolais.

Cette démission de Constant Mutamba plonge de nouveau le gouvernement dans l’embarras, la présidence tente de redorer son image en montrant une fermeté face à la corruption.

Vaccination contre la poliomyélite en RDC : campagne nationale du 26 au 30 juin

Le Programme Élargi de Vaccination (PEV) annonce une campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite en RDC, prévue du 26 au 30 juin 2025. Cette opération cruciale vise à protéger les enfants contre la poliomyélite et à stopper la circulation active du virus dans les zones à risque.

Les provinces concernées sont les suivantes :

  • Kinshasa et Lomami : campagne du 26 au 28 juin, pour les enfants âgés de 0 à 5 ans ;

  • Tshopo et Maniema : campagne du 28 au 30 juin, élargie aux enfants de 0 à 15 ans.

Une approche de proximité pour atteindre tous les enfants

Durant ces cinq jours, les équipes de vaccination — composées de vaccinateurs et de mobilisateurs — se rendront dans les ménages, écoles, mosquées, églises, marchés, parkings et autres lieux de rassemblement pour sensibiliser les familles et administrer les vaccins.

L’objectif est clair : renforcer l’immunité collective et éviter toute résurgence de cette maladie invalidante.

Une stratégie de communication sur le long terme

Pour soutenir ses actions, la République Démocratique du Congo s’est dotée d’un plan stratégique de communication pour la vaccination 2026-2030. Ce plan vise à maintenir une couverture vaccinale élevée et équitable, en particulier chez les enfants, afin de prévenir les maladies évitables par la vaccination.

Paul Kagame reçoit Olusegun Obasanjo à Kigali

Paul Kagame, président du Rwanda, a reçu ce mardi l’ancien chef d’État nigérian Olusegun Obasanjo à Urugwiro, la résidence présidentielle officielle de Kigali. Cette rencontre, axée sur les enjeux sécuritaires et diplomatiques régionaux, marque la première apparition publique de Kagame depuis plus de dix jours, dans un climat de spéculations persistantes.

Les deux dirigeants ont discuté de la situation dans la région des Grands Lacs, notamment des tensions actuelles entre la RDC et le Rwanda. Ils ont également échangé sur les perspectives d’une coopération renforcée entre États africains, en lien avec les défis géopolitiques mondiaux.

Une réapparition qui soulève plus de questions qu’elle n’en résout

L’absence prolongée de Paul Kagame, dans un pays où le pouvoir est hyper-présidentiel, avait déclenché une vague de rumeurs. Aucune image ni déclaration officielle n’avait été publiée durant cette période. Le souvenir de sa dernière « disparition » reste vif : il était alors réapparu avec une cicatrice visible sur le crâne, sans explication.

Cette nouvelle période de silence a coïncidé avec des événements inhabituels :

  • L’arrestation de l’opposante Victoire Ingabire

  • L’annonce soudaine de cinq jours fériés, sans justification

La rencontre avec Obasanjo est certes diplomatique, mais elle sert aussi à rassurer sur la présence de Paul Kagame dans l’appareil d’État. Pourtant, le mystère reste entier : aucune allusion à son absence n’a été faite dans les communications officielles.

Joseph Kabila de retour à Bukavu : acteur de paix ou fauteur de crise ?

Joseph Kabila, ancien président de la République démocratique du Congo, est arrivé le 23 juin 2025 à Bukavu, dans le plus grand secret.
Ce retour fait suite à un séjour d’un mois à Goma, deux villes aujourd’hui sous le contrôle de l’AFC/M23 depuis février.

Cette présence discrète survient dans un climat de forte instabilité.
Depuis janvier, les offensives rebelles ont gagné du terrain, provoquant l’exode de milliers de civils.
Kinshasa accuse Joseph Kabila d’entretenir des liens avec l’AFC, et le tient pour complice dans la dégradation de la situation sécuritaire.

Privé de son immunité sénatoriale en mai dernier, l’ancien président cherche à reprendre la main.
À Bukavu, comme à Goma, il multiplie les rencontres avec chefs religieux, autorités traditionnelles et figures de la société civile.
Objectif annoncé : écouter les populations et proposer des solutions de sortie de crise.

Médiateur ou stratège en coulisses ?

Joseph Kabila affirme vouloir œuvrer pour la paix.
Mais ses détracteurs y voient une manœuvre politique visant à restaurer son influence dans l’Est congolais.
Le gouvernement, en pleine médiation internationale à Washington, observe cette initiative avec suspicion.

En parallèle, les Églises catholique et protestante ont proposé un dialogue national, soutenu par Kabila lui-même.
Mais ce soutien, dans le contexte actuel, divise les opinions.

Après deux ans d’absence passés principalement en Afrique du Sud, son retour dans le Kivu rallume les tensions.
Face à une région ravagée par la guerre et la méfiance, la question demeure :
Joseph Kabila est-il l’artisan d’un nouvel espoir… ou le moteur d’une crise sans fin ?

Variole du singe en RDC : 100.000 doses de vaccin reçues de la France

Le gouvernement congolais, par l’entremise du ministère de la Santé publique, hygiène et prévoyance sociale, a reçu 100.000 doses du vaccin MVA-BN contre la variole du singe (Mpox), envoyées par la France. Ce don, réceptionné au cours de la semaine épidémiologique 24, s’inscrit dans le cadre d’un partenariat bilatéral renforcé entre Paris et Kinshasa.

Cette livraison vient soutenir les efforts déjà en cours pour freiner la propagation du virus, qui touche plusieurs provinces du pays. Elle marque une étape importante dans la stratégie nationale de lutte contre la variole du singe en RDC.

Une campagne de vaccination en pleine expansion

En plus du vaccin MVA-BN, la RDC utilise également le vaccin japonais LC16m8. La campagne a été lancée le 14 juin 2025 à Bumbu, à Kinshasa, et se déploie progressivement dans les zones les plus touchées.

Le ministère a précisé que la vaccination cible désormais les enfants dès l’âge d’un an, une décision prise pour freiner la chaîne de transmission dans les foyers les plus exposés.

Parallèlement, une feuille de route nationale est en cours de finalisation pour garantir une extension progressive et coordonnée de la couverture vaccinale sur tout le territoire.

Des signes encourageants sur le terrain

Lors de la réunion épidémiologique du 23 juin, les autorités sanitaires ont annoncé une baisse des cas de variole du singe en RDC ainsi qu’un recul du taux de positivité des prélèvements. Ces signaux montrent que les efforts conjoints du gouvernement, des partenaires internationaux et du personnel de santé commencent à porter leurs fruits.

Tir meurtrier en RDC : deux soldats tués au Nord-Kivu

Un tir meurtrier en RDC a secoué la province du Nord-Kivu ce mardi 24 juin 2025. Dans la localité de Mungazi, située dans le groupement Luberike, territoire de Walikale, un militaire des FARDC, apparemment ivre dès l’aube, a ouvert le feu sur ses compagnons d’armes. Le drame s’est produit dans un contexte sécuritaire déjà fragile, non loin d’une position tenue par les rebelles de l’AFC/M23.

Un lourd bilan humain et une population terrorisée

Le bilan immédiat est dramatique : deux militaires tués sur place, et neuf autres grièvement blessés. Très vite, les blessés ont été pris en charge et transférés vers l’hôpital général de référence de Kibua. Grâce à la rapidité des secours, certaines vies ont pu être sauvées.

En parallèle, la population de Mungazi s’est retrouvée en état de choc. En effet, les détonations matinales ont semé la panique. Beaucoup ont cru à une nouvelle attaque rebelle. Ainsi, certains habitants se sont réfugiés dans les collines voisines, tandis que d’autres ont fermé boutique et se sont barricadés chez eux.

« Nous avons paniqué, pensant que les M23 entraient dans la ville », confie un commerçant du marché local.

Une réponse rapide des forces de l’ordre

Heureusement, les forces armées ont agi avec célérité. Le soldat fautif a été immédiatement neutralisé et arrêté. Il est désormais placé en détention. Par conséquent, il devra répondre de ses actes devant la justice militaire, conformément aux procédures en vigueur.

Cet incident tragique relance un débat de fond sur la discipline militaire et la gestion du personnel au sein des FARDC. De nombreux analystes estiment, par ailleurs, qu’il est temps d’introduire un suivi psychologique obligatoire et des tests d’alcoolémie réguliers, surtout dans les zones sensibles.

Une alerte sur la stabilité militaire

Ce tir meurtrier en RDC est révélateur d’une réalité plus profonde. Il souligne les failles dans l’encadrement psychologique des troupes, particulièrement dans les zones exposées aux tensions armées. Afin d’éviter que de tels drames ne se reproduisent, des réformes urgentes s’imposent, à la fois en matière de commandement, de prévention et de formation disciplinaire.

Attaques à Nyabiondo nuit agitée entre tirs et panique dans le Masisi

Masisi, Nord-Kivu – 23 juin 2025. De violents échanges de tirs ont secoué Nyabiondo, dans le territoire de Masisi, pendant toute la nuit du dimanche à ce lundi. Selon des sources locales, des hommes armés, identifiés comme wazalendo, ont fait irruption dans cette cité en déclenchant des tirs nourris, semant la panique parmi les habitants.

La zone étant sous contrôle des rebelles de l’AFC/M23, ces derniers ont immédiatement riposté, convaincus d’une attaque coordonnée. Les échanges ont duré jusqu’à 2 heures du matin, selon plusieurs témoignages recueillis sur place.

Un climat d’instabilité persistant

Cette nouvelle attaque à Nyabiondo intervient dans un contexte tendu. Le week-end dernier, des affrontements similaires ont éclaté à Kasopo, localité voisine, opposant les mêmes factions. Ces affrontements répétés alimentent un sentiment de peur grandissant au sein de la population.

Une reprise timide des activités

Au lendemain de cette nuit d’angoisse, les activités socioéconomiques ont repris lentement à Nyabiondo. Boutiques, écoles, transports : tout fonctionne au ralenti. Les habitants restent méfiants, redoutant de nouveaux incidents.

Une recrudescence des attaques

La région, toujours occupée par les forces AFC/M23, fait face à une intensification des attaques des wazalendo. Ces incursions armées fragilisent davantage la sécurité dans les villages autour de Nyabiondo, rendant la situation de plus en plus imprévisible.

Restauration de l’ordre public : Kisangani frappe fort

Le 23 juin 2025, Kisangani a franchi une étape décisive dans la restauration de l’ordre public. En effet, le vice-Premier ministre de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, a lancé l’opération Ndobo, une initiative stratégique pour lutter contre la criminalité urbaine.

Lors de cette opération, dix-huit présumés criminels ont été présentés aux autorités. Parmi eux figurait Manega, un individu considéré comme dangereux, accusé d’avoir désarmé un chef de poste de police dans la commune de Tshopo.

En parallèle : Kapalata renaît de ses cendres

Le même jour, un autre événement important a marqué la ville. Il s’agit de l’inauguration officielle de l’école de police de Kapalata, située à 5 km de Kisangani. Longtemps abandonnée, cette école construite en 1957 a été totalement rénovée.

Grâce à un investissement de près de 500 000 dollars, financé par le gouvernement, l’école peut désormais accueillir 2 000 élèves. En outre, elle dispose de dortoirs modernes, de salles équipées, d’un nouveau réseau électrique sécurisé, ainsi que d’un puits profond pour l’accès à l’eau potable.

De la formation à la sécurité : une stratégie bien pensée

Ainsi, Jacquemain Shabani a salué cette réhabilitation, soulignant qu’elle représente un levier clé pour renforcer la sécurité nationale. Selon lui, la formation de policiers bien préparés est indispensable à la réussite de la restauration de l’ordre public.

De son côté, le gouverneur de la Tshopo, Paulin Lendongolia, a affirmé :

« Ce n’est pas seulement une rénovation, c’est un signal fort. Cette école devient un pilier de l’autorité de l’État. »

Une vision claire pour l’avenir de Kisangani

En combinant l’opération Ndobo et la réouverture de Kapalata, le gouvernement affiche clairement sa volonté de rétablir durablement l’ordre. Ces deux actions s’inscrivent dans une vision globale de restauration de l’ordre public, à la fois répressive et préventive.

Pour conclure, le vice-Premier ministre a insisté sur l’importance d’un usage efficace de cette infrastructure :

« Plus on formera de policiers, plus nous renforcerons notre stabilité. »

Sommet USA-Afrique :l’Afrique redéfinit les règles

Le Sommet USA-Afrique 2025 s’est ouvert ce lundi 23 juin à Luanda, capitale de l’Angola. Plus de 1 500 participants s’y sont réunis, notamment des chefs d’État africains, des hauts responsables américains et des dirigeants du secteur privé.

Le président congolais Félix Tshisekedi représente la RDC à cette grande rencontre économique. Organisé par le Corporate Council on Africa (CCA), ce sommet met l’accent sur un partenariat rénové entre les deux continents. Ainsi, le thème choisi est explicite : « Les voies de la prospérité : une vision commune ».

Une nouvelle vision des relations USA-Afrique

Lors de son discours inaugural, le président angolais João Lourenço a posé les bases d’une coopération équitable. En effet, il estime que l’Afrique ne veut plus simplement de l’aide, mais des investissements privés et durables.

Par ailleurs, il a insisté sur l’importance de créer des partenariats qui respectent la souveraineté nationale, favorisent le transfert de compétences locales et génèrent des emplois qualifiés. Dès lors, l’Afrique souhaite être considérée comme un acteur stratégique mondial.

Des projets ambitieux au cœur du sommet

Plusieurs projets majeurs sont à l’ordre du jour. Notamment, le corridor de Lobito, un axe ferroviaire stratégique reliant l’Atlantique à l’océan Indien, qui favorisera le commerce intra-africain. Ce projet implique l’Angola, la RDC et la Zambie.

De plus, les discussions ont également porté sur un accord de paix RDC-Rwanda, soutenu par l’administration Trump. La signature officielle est prévue à Washington le 27 juin. Ce faisant, les États-Unis souhaitent jouer un rôle clé dans la stabilisation de la région des Grands Lacs.

En parallèle, un accord minier est en cours de négociation entre la RDC et les États-Unis. Ce partenariat vise à intensifier les investissements américains dans les ressources critiques congolaises, essentielles à la transition énergétique mondiale.

Une Afrique stable et tournée vers l’avenir

Le président Lourenço a également souligné que l’Afrique est jeune, stable et visionnaire. Avec plus de 70 % de sa population âgée de moins de 30 ans, le continent incarne un futur de croissance, d’innovation et de dynamisme.

Le Sommet USA-Afrique 2025 s’inscrit dans cette dynamique. Il vise à renforcer les liens économiques, diplomatiques et stratégiques dans une logique gagnant-gagnant. Par conséquent, l’Afrique ne veut plus être un simple terrain d’aide, mais un véritable partenaire d’égal à égal.