Deux mois et une semaine après l’ouverture de la session inaugurale, l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo tarde toujours à installer son bureau définitif.
Mercredi, une séance plénière a été convoquée par le Bureau d’âge pour entamer le processus de mise en place du Bureau définitif et de la Commission paritaire Majorité-Opposition. La plénière a été suspendue pendant 30 minutes afin de permettre aux regroupements politiques de désigner chacun leur délégué à la Commission chargée de préparer la mise en place du Bureau définitif.
La répartition des postes au sein du Bureau définitif se fera selon le poids politique, avec 405 postes pour la Majorité contre 25 pour l’Opposition, selon Christophe Mboso, président de l’Assemblée nationale. Malgré la validation des mandats des élus nationaux et l’adoption du règlement intérieur lors de cette session extraordinaire, le processus d’installation du bureau définitif est en cours.
Selon le règlement intérieur de l’Assemblée nationale, le bureau définitif aurait dû être constitué dans les cinq jours suivant la notification de la décision de conformité par la Cour constitutionnelle, sois le vendredi 5 avril dernier.

Le Haut-Commissaire a appelé à l’action de tous ceux qui ont de l’influence sur les groupes armés pour mettre fin aux violences et restaurer la paix dans la région. Cette visite intervient dans un contexte où la coopération pour le rétablissement de la paix, de la sécurité et de la situation humanitaire en RDC reste cruciale, comme en témoigne sa réunion avec le SAMIDRC Leadership à Goma.
La semaine dernière, à Houston, la plus grande ville du Texas, le Maire John Whitmire a eu des échanges constructifs avec la candidate gouverneure de Kinshasa, la capitale de la République démocratique du Congo (RDC), dans le but de présenter et d’enrichir les stratégies de gouvernance pour améliorer les services et favoriser le développement de la ville.
Le Haut-commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Volker Türk, est arrivé lundi en début de soirée à l’aéroport international de N’djili, à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC). Il a été chaleureusement accueilli par Fabrice Puela, ministre des Droits humains, et Paul Nsapu, président de la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH-RDC).
Christophe Lutundula a également abordé la question de la levée du moratoire sur la peine de mort, la qualifiant de mesure conjoncturelle. Il a assuré que la RDC ne serait pas le dernier pays à soutenir les efforts de promotion des droits de l’homme. Au contraire, le gouvernement congolais reste ouvert à travailler en partenariat avec les Nations Unies pour renforcer la protection des droits fondamentaux de tous les citoyens.