Doha relance la médiation entre Kinshasa et l’AFC/M23 : espoir fragile pour un accord de paix

Kinshasa/Doha, 17 août 2025 — Un projet d’accord de paix a été transmis à la fois au mouvement armé AFC/M23 et au gouvernement congolais par le médiateur qatari. L’annonce a été faite dimanche, alors que les discussions, prévues initialement pour le 8 août, pourraient enfin s’ouvrir cette semaine dans la capitale qatarie.

Des positions toujours éloignées

Si les deux parties ont confirmé leur disponibilité à relancer les pourparlers, les divergences restent profondes. L’AFC/M23 exige la libération de ses membres détenus avant toute reprise des discussions, considérant que cette étape conditionne l’application de la déclaration de principes. Kinshasa, au contraire, campe sur sa ligne : « pas un seul prisonnier libéré avant, revenez d’abord à Doha et on en discute ».

Un dialogue délicat mais nécessaire

Du côté du Qatar, l’optimisme demeure prudent. « Nous reconnaissons les difficultés sur le terrain et espérons qu’elles pourront être surmontées rapidement grâce au dialogue et à un engagement sincère », a confié un responsable qatari impliqué dans la médiation. Selon nos informations, les deux délégations pourraient se retrouver dès mercredi à Doha, même si la composition exacte de la délégation de l’AFC/M23 reste incertaine.

L’agenda des discussions

La médiation qatarie prévoit deux étapes principales : d’abord, suivre la mise en œuvre complète de la déclaration de principes, ensuite finaliser un accord de paix. Pour Kinshasa, la priorité demeure la restauration de l’autorité de l’État dans les zones encore occupées. Une position que l’AFC/M23 ne partage pas, préférant mettre l’accent sur le règlement des causes profondes du conflit.

Un processus semé d’incertitudes

Cette nouvelle séquence de négociations s’annonce donc délicate. Entre préalables exigés par l’AFC/M23 et fermeté du gouvernement congolais, il reste à savoir si les concessions nécessaires pourront être trouvées. Le Qatar mise sur le dialogue pour débloquer la situation, mais la route vers un accord définitif paraît encore longue.

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L’entrée du mot « Liboke » au Larousse 2026 déclenche un débat culturel

Le Petit Larousse illustré 2026 accueillera un nouvel entrant : le liboke, plat emblématique de la République démocratique du Congo. Selon le dictionnaire, il s’agit d’« une préparation à base de poisson ou de viande, enveloppée dans des feuilles de bananier et cuite au charbon de bois ».

Une définition simple qui réjouit certains Congolais mais suscite aussi des critiques. Dans les restaurants de Kinshasa, comme le « 100 % Liboke, Chez Mère Antho Aembe », les clients affluent à l’heure du déjeuner pour savourer ce mets au goût fumé unique. Pour beaucoup, cette reconnaissance française est une fierté nationale.

Mais pour d’autres, notamment des intellectuels et universitaires, la définition proposée par le Larousse est trop réductrice. « En lingala, liboke signifie avant tout un petit groupe », explique Moïse Edimo Lumbidi, professeur de lingala. Ce sens renvoie à l’unité et à la communion, valeurs chères à l’histoire congolaise, notamment à travers le slogan du Zaïre de Mobutu : Tolingi Zaïre liboke moko, lisanga moko (« Nous voulons un Zaïre uni et indivisible »).

L’écrivain Pépin-Guillaume Manjolo déplore que l’Académie française n’ait pas consulté les académies congolaises avant cette intégration :

« Limiter liboke à l’aspect culinaire est acceptable pour les Français, mais pas pour nous. »

Pour les défenseurs du patrimoine linguistique, il est indispensable de préserver la dimension culturelle du mot en expliquant ses origines et son usage historique. Du côté des restaurateurs, l’annonce est perçue comme une opportunité. « Si ça amène plus de clients, c’est tant mieux », sourit Mère Antho.

Entre fierté gastronomique et débat identitaire, l’entrée de liboke au Larousse illustre l’enjeu de la reconnaissance culturelle dans la langue française.

Excellentia 2025 : Le couple présidentiel mise sur l’éducation pour bâtir le Congo de demain

Le programme Excellentia a célébré sa 6ᵉ édition ce jeudi au Centre culturel d’Afrique centrale à Kinshasa, en présence du président Félix Tshisekedi et de la première dame Denise Nyakeru Tshisekedi, initiatrice du projet. Cette cérémonie a récompensé 79 lauréats de l’Examen d’État, ainsi que les établissements ayant fourni le plus grand nombre de boursiers : le Lycée Kabambare (10 boursiers), le Collège Notre-Dame du Congo (14) et le Complexe scolaire Les Loupiots (27).

Le coordonnateur de la Fondation Lona (ex-Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi), Joël Makubikua, a rappelé les objectifs du programme :

  • Promouvoir la culture de l’excellence dans les écoles de RDC.

  • Susciter l’émulation pour que l’excellence devienne un objectif commun.

  • Former une élite capable de diriger le pays demain.

Pour être admissible, un élève doit obtenir au moins 85 % à l’Examen d’État, puis réussir un test interne avec un minimum de 70 %.

Dans son discours, Félix Tshisekedi a qualifié Excellentia d’investissement stratégique et visionnaire, affirmant :

« Ensemble, donnons à chaque jeune Congolais la possibilité de réaliser son plein rêve. Excellentia investit dans notre capital humain pour bâtir le Congo de demain. »

Le chef de l’État a dressé un constat préoccupant sur l’éducation en RDC, rappelant qu’un enfant né aujourd’hui n’atteindrait que 37 % de son potentiel productif sans un enseignement et des soins adaptés.

Appelant à une mobilisation nationale, il a invité le gouvernement à renforcer son partenariat avec la Fondation Denise Nyakeru Tshisekedi pour élargir l’accès aux bourses, affirmant que :

« Avec des initiatives comme Excellentia, nous préparons les leaders de demain et construisons une société plus juste et éclairée. »

Kinshasa reçoit un appui stratégique américain pour contrer les urgences de santé

À Kinshasa, le Centre des opérations des urgences de santé publique (COUSP) et l’Institut national de santé publique (INSP) ont reçu ce jeudi des matériels numériques de surveillance offerts par les Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Cette dotation illustre la solidité du partenariat RDC-USA dans le domaine de la santé publique.

Pour le docteur Dieudonné Mwamba, directeur général de l’INSP, cette remise est une « cérémonie hautement significative » :

« Elle traduit l’excellence de la collaboration entre la RDC et les États-Unis, notamment à travers les appuis multiformes dans la gestion des urgences de santé publique. Votre présence témoigne de votre volonté de renforcer nos systèmes de surveillance, de préparation et de réponse aux épidémies. »

LIRE AUSSI : https://www.journaldekinshasa.com/les-etats-unis-offrent-plus-de-550-000-usd-dequipements-pour-renforcer-la-surveillance-sanitaire/

Le docteur Christian Ngandu, coordonnateur du COUSP, a salué l’appui américain dans la riposte à la rougeole, à l’épidémie de Mpox (variole du singe), aux inondations dans quatre provinces, ainsi qu’aux luttes contre l’anthrax et le choléra. Grâce à ce soutien, la RDC peut mener des tests rapides, renforcer la vaccination et améliorer la gestion des alertes sanitaires.

De son côté, l’ambassadrice des États-Unis en RDC, Lucy Tamlyn, a réaffirmé l’engagement de Washington :

« Notre partenariat avec l’INSP et le centre d’urgence est essentiel. Les États-Unis ont été un partenaire précieux dès le début et continueront de l’être. Les résultats obtenus sont impressionnants, même si beaucoup reste à faire. »

Cette collaboration stratégique vise à améliorer la détection précoce des menaces sanitaires et à renforcer la capacité de riposte à travers tout le territoire congolais.

Les États-Unis offrent plus de 550.000 USD d’équipements pour renforcer la surveillance sanitaire

Jeudi, au Centre des opérations des urgences de santé publique (COSUP) à Kinshasa, la République démocratique du Congo recevra un important don des Centres américains pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Cette remise officielle d’équipements et de matériels numériques de surveillance, d’une valeur de 554.000 dollars américains, vise à moderniser le système de santé et à renforcer les capacités épidémiologiques, tant au niveau national que provincial.

Un partenariat pour moderniser la réponse aux épidémies

Selon le communiqué de presse annonçant l’événement, ces outils serviront à améliorer la collecte, l’analyse et la transmission des données sanitaires. L’objectif principal est de renforcer la surveillance sanitaire en RDC, notamment face à la menace persistante du Mpox. Grâce à cet appui, le COSUP pourra réagir plus rapidement et coordonner efficacement la riposte lors des urgences de santé publique.

Un geste qui renforce la coopération RDC–USA

Ce soutien illustre l’engagement des États-Unis dans la lutte contre les épidémies en Afrique centrale. En misant sur des solutions numériques de pointe, les CDC contribuent à la prévention, à la détection précoce et au contrôle des maladies. Pour la RDC, ce partenariat représente une étape clé vers un système de santé plus résilient et capable d’anticiper les crises sanitaires.

Moïse Katumbi prépare la bataille politique de 2028 depuis Bruxelles

Réuni à Bruxelles les 12 et 13 août, le parti Ensemble pour la République, dirigé par Moïse Katumbi, a fixé le cap : préparer une offensive politique pour les élections générales de 2028. Refusant de rejoindre le gouvernement de Félix Tshisekedi, l’opposant en exil veut « préparer avec lucidité et fermeté la riposte politique et citoyenne face aux menaces qui pèsent sur notre nation ».

Durant ce conclave, Katumbi a multiplié les attaques contre le chef de l’État. Son parti dénonce « une tentative persistante de modification de la Constitution pour prolonger indéfiniment le mandat présidentiel » et accuse le pouvoir de refuser le dialogue national proposé par la Cenco et l’ECC.

Un plan d’action contre la dérive autoritaire

Pour contrer ce qu’il perçoit comme un recul démocratique, Ensemble pour la République met en place un mécanisme d’alerte destiné à recenser les plaintes et à engager des actions en justice contre toute restriction des libertés ou atteinte au patrimoine commun.

Sur le terrain, la stratégie est claire : renforcer l’organisation interne, s’implanter dans tous les territoires, élargir la base militante et fédérer les forces du changement avec l’appui de la diaspora.

Un appel à l’unité pour « mettre fin à la dictature »

Moïse Katumbi exhorte « toutes les forces démocratiques, les mouvements citoyens et la société civile » à unir leurs efforts pour « restaurer un pouvoir légitime issu d’élections crédibles ». Pour lui, la mobilisation doit être totale et s’inscrire dans la durée afin de peser sur le paysage politique congolais.

Procès Constant Mutamba : verdict attendu le 27 août dans l’affaire de détournement à Kisangani

Le 13 août 2025, la Grande Salle Marcel Lihau de Kinshasa a accueilli une étape clé du procès de Constant Mutamba. L’ancien ministre de la Justice fait face à des accusations de détournement présumé de 19 millions USD destinés à construire une prison à Kisangani. La Cour de cassation rendra son verdict le 27 août.
Le juge président Jacques Kabasele a annoncé la clôture des débats et le passage en délibéré.

Dix ans requis, défense en contre-attaque

Le ministère public, représenté par l’avocat général Sylvain Kalwila, réclame dix ans de travaux forcés. Il affirme que Mutamba a tenté de détourner des fonds en validant un paiement de 19 millions USD dans le cadre d’un marché de gré à gré, sans obtenir l’avis de non-objection exigé par la loi.
En réponse, la défense soutient que l’argent reste sur un compte bancaire et n’a jamais été utilisé. Elle critique un réquisitoire rédigé avant la fin des témoignages et demande l’acquittement.
« Que dirons-nous aux générations futures si un innocent est condamné ? » a lancé Maître Jean-Paul Kitenge Kabundji. L’avocat appelle à une justice « digne et apaisée ».

Mutamba clame son innocence

Face aux juges, Constant Mutamba a cité le Psaume 34:19 pour exprimer sa foi dans sa délivrance. Il a comparé son épreuve à celles de Lumumba, Mandela et Lula. « Je n’ai pas touché un seul franc », a-t-il insisté.
Il a reconnu avoir tenu des propos jugés discourtois envers le ministère public, mais a réaffirmé sa fidélité aux institutions.
Cette affaire, lancée après une résolution de l’Assemblée nationale et les réquisitoires du procureur général Firmin Mvonde, symbolise les tensions autour des réformes judiciaires en RDC.
Le 27 août, Kinshasa et Kisangani attendront un verdict qui pourrait marquer un tournant politique et judiciaire.

Procès Mutamba : 10 ans de travaux forcés requis dans l’affaire des 19 millions destinés à une prison à Kisangani

Le ministère public a demandé, mercredi, la condamnation de Constant Mutamba à 10 ans de travaux forcés. Il souhaite également son interdiction de voter. L’ancien ministre de la Justice est accusé d’avoir détourné 19 millions USD prévus pour la construction d’une prison à Kisangani, dans la Tshopo.

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Un témoignage bancaire clé

Le procès a pris un tournant après le témoignage d’un responsable de la Rawbank. Selon lui, un compte au nom de Zion Construction SARL a été ouvert le 15 avril 2025. Dès le lendemain, il a reçu un virement du ministère de la Justice. Pour le témoin, un tel transfert, aussi rapide et important, aurait dû déclencher une alerte en vertu des lois anti-blanchiment.

Il précise aussi que la banque n’a jamais reçu d’instruction pour créer un compte séquestre. Les fonds provenaient d’un sous-compte du ministère intitulé Ministre de la Justice/Frivao. Ce point soulève de nouvelles interrogations sur la régularité de l’opération.

Une défense offensive

Constant Mutamba a été radié de ses fonctions et privé de son immunité parlementaire en juin 2025. Il rejette les accusations et assure que l’argent reste sur le compte de Zion Construction à la Rawbank. Il parle d’une « machination politique » orchestrée pour l’écarter.

Pour renforcer sa stratégie, la défense a obtenu la récusation de deux juges pour suspicion de partialité. Ce rebondissement montre que la bataille judiciaire ne fait que commencer.

L’audience du 13 août 2025 confirmé que ce dossier est l’un des plus suivis en RDC. Il mêle enjeux judiciaires, tensions politiques et soupçons financiers. Le verdict final pourrait avoir un impact durable sur la perception de la justice congolaise.

Procès Constant Mutamba : Révélations bancaires sur les 19 millions $ destinés à la prison de Kisangani

Le cinquième jour du procès Constant Mutamba s’est déroulé ce mercredi 13 août 2025 à la Cour de cassation de Kinshasa. L’ancien ministre de la Justice répond devant la justice pour détournement présumé de fonds publics destinés à construire une prison à Kisangani, chef-lieu de la province de Tshopo.

Lors de l’audience, la Cour a entendu le dernier témoin cité par le ministère public. Il s’agit d’un délégué de RAWBANK, la banque où la société Zion Construct a ouvert un compte pour exécuter le marché de construction.

Le témoin a affirmé que Zion Construct disposait d’un compte courant ayant reçu des fonds directement du ministère de la Justice. Au moment de l’enquête pré-juridictionnelle, le compte contenait 19 millions de dollars américains. Selon lui, le montant a légèrement diminué à cause des frais bancaires. Aujourd’hui, la justice a saisi ce compte.

Il a aussi expliqué la différence entre comptes séquestres et comptes courants, un point jugé important pour comprendre l’affaire.

Après son témoignage, la Cour est passée à la phase des plaidoiries. Le ministère public a commencé ses réquisitions. Constant Mutamba reste accusé d’avoir détourné les 19 millions $ destinés au chantier de la prison de Kisangani.