L’étain congolais rebondit sur les marchés

La République Démocratique du Congo enregistre une hausse de 3,51 % du prix de la tonne d’étain. Selon un communiqué du ministère du Commerce extérieur publié ce lundi, la tonne s’échangeait à 32 216,25 USD au 19 mai 2025, contre 31 125 USD la semaine précédente. Ce minerai stratégique, essentiel pour les exportations congolaises, connaît donc un regain après une période de repli.

Un contexte global moins favorable
Malgré cette progression, le ministère appelle à la prudence. Il précise que la semaine du 19 au 24 mai s’inscrit dans une tendance générale baissière. Le niveau actuel n’est donc qu’un rebond modéré. Pour rappel, entre le 21 et le 26 avril, la tonne d’étain atteignait encore 35 743,75 USD, un pic bien supérieur au tarif actuel.

Des variations contrastées sur les autres minerais
En parallèle, d’autres minerais exportés par la RDC évoluent différemment : le cuivre, le zinc et l’argent sont en hausse, tandis que le cobalt et l’or reculent. Le tantale, lui, reste stable à 227 USD le kilo. Le ministère souligne que ces fluctuations s’expliquent par les lois de l’offre et de la demande, mais aussi par les perturbations de la chaîne d’approvisionnement mondiale.

Procès Matata Ponyo : un verdict explosif attendu, la RDC retient son souffle

Le procès de l’ancien Premier ministre congolais Augustin Matata Ponyo entre dans sa phase finale. Il comparaît aux côtés de Déogratias Mutombo, ex-gouverneur de la Banque centrale du Congo, et de Christo Grobler, directeur de la société sud-africaine Africom. Tous trois sont accusés d’avoir détourné plus de 285 millions de dollars dans le cadre d’un projet de relance agricole au Katanga.

Le 23 avril 2025, le procureur général a requis dix ans de travaux forcés, dix ans d’inéligibilité et l’arrestation immédiate de Matata Ponyo. Ces réquisitions ont aussitôt provoqué une onde de choc. La sphère politique et l’opinion publique suivent de près cette affaire. Pour beaucoup, elle marque un moment clé dans la lutte contre la corruption.

Le verdict, prévu initialement pour le 14 mai, a été repoussé au 20 mai. Ce report vise à permettre un examen approfondi du dossier. La défense et l’accusation s’opposent sur plusieurs points techniques. En attendant, les spéculations se multiplient. Certains craignent un impact direct sur la stabilité politique du pays.

Immunité, tensions et bras de fer institutionnel

Le débat dépasse désormais le simple cadre judiciaire. Il divise également les institutions. À l’Assemblée nationale, Vital Kamerhe, son président, s’est insurgé contre la procédure. Il estime qu’en tant que député, Matata Ponyo ne peut être poursuivi sans la levée préalable de son immunité parlementaire.

De son côté, le président de la Cour constitutionnelle, Dieudonné Kamuletaa, a tranché autrement. Il considère que l’affaire a quitté le stade pré-juridictionnel. Dès lors, selon lui, la justice peut suivre son cours. Il rappelle l’importance de respecter la séparation des pouvoirs. Pour lui, aucun obstacle ne devrait entraver l’action de la justice.

Cette divergence alimente les tensions politiques. Les partisans de Matata dénoncent un acharnement politique. Ses adversaires, eux, saluent un acte fort contre l’impunité. Dans tous les cas, le procès suscite un vif intérêt. Il met à l’épreuve les institutions républicaines et leur capacité à fonctionner sans interférence.

Quelle issue ? Quel signal pour la lutte contre la corruption ?

Ce procès ne concerne pas seulement les faits reprochés. Il pourrait bien redessiner le paysage politique congolais. Matata Ponyo, encore perçu comme un acteur politique influent, risque de perdre toute crédibilité. Une condamnation compromettrait sérieusement son avenir politique.

De nombreux citoyens voient dans cette affaire un test décisif. La RDC peut-elle enfin montrer que la justice s’applique à tous ? Le jugement attendu représente un moment charnière. Il peut soit renforcer la confiance dans les institutions, soit raviver le scepticisme populaire.

Alors que le 20 mai approche, la tension monte. Le pays retient son souffle. Le verdict attendu pourrait bien symboliser une nouvelle étape dans la lutte contre la corruption. Mais au-delà du jugement, c’est la volonté de bâtir un État de droit qui est réellement en jeu.

Rapatriement forcé : 786 réfugiés Rwandais renvoyés par le M23 depuis le Nord-Kivu

Lundi 19 mai 2025, 786 réfugiés rwandais ont quitté la ville de Goma pour regagner le Rwanda. Le Haut-Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR) a organisé leur transfert avec l’aide logistique du M23. Ce mouvement rebelle, qui contrôle une large zone du Nord-Kivu, a imposé leur départ. Ces familles avaient fui le génocide rwandais de 1994 et vivaient depuis dans le territoire de Masisi, à Karhenga. Après la prise de Goma par le M23 en janvier, elles ont été déplacées vers Sake, à vingt kilomètres de là.

Des récits de vie marqués par l’exil et la douleur

Parmi les personnes rapatriées figure Gisèle Tuyisenge Nsabimana. Elle a 41 ans et sept enfants. Elle se souvient :

« J’avais 10 ans quand j’ai fui le Rwanda. Mes parents ont été tués. Nous avons d’abord vécu à Mugunga, puis à Karhenga. Ensuite, les soldats du M23 nous ont déplacés à Sake. Ils sont venus nous chercher dans l’école, nous ont conduits au stade, puis aux locaux du HCR. Aujourd’hui, je retourne au Rwanda, chez un proche à Ruhengeri. »

Des sources sécuritaires confirment que ces familles n’ont pas eu la possibilité de retourner à Karhenga. Le M23 leur aurait interdit tout retour dans leurs anciens villages d’accueil.

Le M23 expulse aussi des civils de Goma

Ce rapatriement massif s’ajoute à d’autres expulsions menées par le M23. Le week-end précédent, plus de 300 civils ont été transportés vers le Rwanda. Le groupe rebelle affirme qu’il s’agissait de Rwandais sans papiers légaux. Parmi eux, 181 hommes d’ethnie hutu ont été désignés comme « ressortissants rwandais illégaux ». Bien que plusieurs détenaient des papiers congolais, le M23 a jugé ces documents falsifiés. Les rebelles les ont brûlés publiquement.

En mars, ils avaient déjà remis au Rwanda vingt combattants présumés des FDLR, arrêtés en uniforme FARDC. Ces événements renforcent les inquiétudes autour du respect des droits humains dans les zones sous domination du M23, et soulignent les tensions persistantes autour de l’identité, de la légitimité et du contrôle du territoire dans l’est du Congo.

Joseph Kabila convoqué : vers la fin de l’immunité d’un ex-président ?

Le Sénat de la RDC convoque Joseph Kabila à une séance de travail ce mardi 20 mai 2025 à 11h. Le président du Sénat, Jean-Michel Sama Lukonde, a signé la convocation. Elle se tiendra dans la salle des conférences internationales du Palais du Peuple.

La Commission spéciale, composée de 40 membres et présidée par Christophe Lutundula, examine la demande de levée d’immunité. Elle étudie le réquisitoire de l’auditeur général près la Haute Cour militaire.

De graves accusations contre l’ancien président

Joseph Kabila fait face à des accusations très graves. L’auditeur général l’accuse de trahison, de crimes de guerre et de liens avec les rebelles du M23. Il lui reproche aussi une collusion avec le Rwanda et certains de ses agents.

Le Code pénal militaire congolais punit lourdement ces infractions. Si le Sénat lève son immunité, l’ancien président pourrait être jugé.

Une procédure exceptionnelle

La Commission spéciale dispose de trois jours pour auditionner les différentes parties. Elle entendra notamment l’auditeur général des FARDC. Ensuite, elle transmettra un rapport à la plénière du Sénat.

Le réquisitoire s’appuie sur plusieurs textes : la Constitution, le Code de justice militaire, la loi sur les anciens chefs d’État et les règles de l’état de siège.

La Haute Cour militaire reste compétente pour juger les actes militaires, même si le suspect est sénateur. Le parlementaire Joseph Kabila, et non l’ancien président, se retrouve ainsi au cœur de la procédure.

Un tournant politique et judiciaire

Le Sénat décidera du sort de Joseph Kabila dans les 72 heures. Une levée de son immunité ouvrirait la voie à un procès inédit en RDC.

Ce dossier hautement sensible pourrait marquer un tournant dans la justice congolaise. Le Palais du Peuple devient, pour quelques jours, l’épicentre politique du pays.

Beni en colère : L’ assassinat d’un élève provoque la paralysie les écoles

Les écoles de Beni ont fermé ce lundi 19 mai 2025. Les élèves protestent contre l’assassinat de David Tumba Tshaba, un préfinaliste tué par des hommes armés dans le quartier Kasabinyole.

Un Élève Assassiné en Résistant

David Tumba Tshaba a été abattu alors qu’il tentait de résister à un vol. Son assassinat a choqué les étudiants, qui ont décidé de sécher les cours pour dénoncer cette violence et exiger des réponses.

Des Étudiants Révoltés

« Nous déplorons cet assassinat lâche, d’un jeune plein d’espoir et d’avenir pour notre pays. Nous voulons interpeller les autorités pour une action rapide et ferme », a déclaré Jeannot Kangwana, coordonnateur du comité des élèves de Beni.

Les élèves réclament des enquêtes indépendantes pour identifier et juger les responsables. Ils demandent aussi un renforcement des mesures de sécurité pour protéger les jeunes de la ville.

Les Autorités Sous Pression

Face à cette colère, les autorités ont promis des enquêtes pour retrouver les coupables. L’enterrement du jeune David, prévu ce lundi, se déroulera dans un climat de tension.

Violents affrontements entre les FARDC et le Groupe Armé Zaïre près de Bunia

Des affrontements violents ont éclaté ce lundi 19 mai 2025, entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les miliciens du groupe armé Zaïre, dans la périphérie du village de Jina, à environ 35 kilomètres de Bunia, dans le territoire de Djugu.

Un Bilan Provisoire Alourdi
Les combats ont déjà fait trois blessés graves. Les casques bleus népalais de la MONUSCO ont réussi à évacuer les blessés vers leur base à Jina, où plusieurs habitants ont aussi trouvé refuge. Parmi les victimes, on compte une personne touchée à la tête, une autre à l’abdomen, et un soldat des FARDC blessé au bras.

Déclenchement des Hostilités
Selon une source sécuritaire, les violences ont débuté après l’incendie d’un campement vide des FARDC à Tchulu par des miliciens de Zaïre. Peu après, des affrontements ont éclaté à Liko, l’un des bastions de cette milice, dès les premières heures du matin.

Nouvelle Attaque à Lidda
La veille, une embuscade présumée tendue par la milice CODECO contre une patrouille de l’armée ougandaise à Lidda, près du centre commercial de Bule, a fait au moins six morts et plusieurs blessés. Ce bilan reste toutefois à confirmer par les autorités.

Une Situation Tendue
Ces attaques ont entraîné une paralysie des activités socio-économiques dans cette région déjà marquée par des violences récurrentes, soulignant une fois de plus l’instabilité persistante dans l’Est de la RDC.

Grands travaux en RDC : Routes, ponts et rocades pour connecter le cœur du Congo

Le vaste plan d’interconnexion des provinces de la République démocratique du Congo avance rapidement. Dans le Kasaï Central, les travaux de réhabilitation sur l’axe Kananga-Kalamba Mbuji ont déjà atteint le PK130, soit plus de la moitié des 230 km prévus. Grâce aux efforts de SICOMINES S.A., la circulation est désormais plus fluide sur 140 km. Les véhicules légers roulent à 60 km/h et les poids lourds à 30-40 km/h.

Dans le Kasaï Oriental et le Lualaba, l’axe Nguba-Mbuji-Mayi a retrouvé sa praticabilité après la sécurisation du pont au PK26. Réouvert à la circulation le 7 mai 2025, ce tronçon est essentiel pour relier ces provinces enclavées à l’Afrique australe via l’Angola.

Kinshasa : Une Rocade pour Désencombrer la Capitale

À Kinshasa, une rocade de 63 km se construit pour fluidifier le trafic urbain et renforcer les liens avec les provinces du Kongo Central, du Kwango et du Grand Katanga. Le 14 mai 2025, les équipes de SICOMINES S.A. ont achevé le premier dalot de 38,59 mètres, marquant une étape clé dans ce projet stratégique. Ce dalot servira de modèle pour les prochaines infrastructures, garantissant la qualité et la sécurité des futurs ouvrages.

Le Kongo Central et ses Défis d’Infrastructure

Dans le Kongo Central, les travaux de bitumage sur la route Manterne-Tshela-Singini avancent sous la direction de CREC-7 S.A.. Les équipes ont déjà calibré les équipements clés, comme les paveurs et compacteurs, et finalisé les mélanges bitumineux pour garantir la solidité des revêtements. Le 15 mai 2025, les travaux de pose du bitume commenceront, consolidant cette route stratégique pour l’économie régionale.

Nouvelle vague de violence en Ituri : Plusieurs morts et blessés après des affrontements Armés

Au moins six personnes ont été tuées le dimanche 18 mai 2025 lors d’une attaque menée par des miliciens de la CODECO contre un convoi de soldats de l’armée ougandaise (UPDF) dans le territoire de Djugu, en Ituri. Selon des sources locales, les miliciens ont tendu une embuscade à ce convoi qui patrouillait dans la localité de Lidda, près du centre commercial de Bule.

Des Affrontements Multiples et des Blessés

Le lundi 19 mai, des affrontements ont également éclaté aux abords du village de Jina, à 35 kilomètres de Bunia, entre les militaires des Forces armées de la RDC (FARDC) et des miliciens Zaïre. Cette confrontation a fait trois blessés, dont deux civils et un militaire des FARDC.

Les violences ont commencé après l’incendie d’un campement vide des FARDC à Tchulu par des éléments de la milice Zaïre, selon des sources locales de sécurité. Peu après, de nouveaux combats ont éclaté à Liko, un bastion de ces miliciens.

Une Population en Détresse

Les casques bleus népalais de la MONUSCO sont intervenus pour évacuer les blessés vers la base de la Mission onusienne de Jina, où plusieurs habitants ont trouvé refuge. Les victimes, touchées à la tête, à l’abdomen et au bras, ont été rapidement prises en charge, mais les combats ont paralysé les activités socio-économiques de la région.

Semaine africaine 2025 à l’UNESCO : Un rendez-vous pour la restitution du patrimoine Africain

La restitution du patrimoine africain sera au cœur des discussions lors de la Semaine africaine 2025, qui se tiendra du 19 au 21 mai à la Maison de l’UNESCO à Paris. Des pays africains, dont la République démocratique du Congo (RDC), sont attendus pour cet événement majeur.

Cette édition se déroulera sous le thème « Solidarité mondiale pour la restitution et la restauration du patrimoine africain par la culture, l’éducation et les sciences ». Elle mettra en avant la richesse culturelle du continent et l’importance de l’éducation pour stimuler l’innovation et favoriser le développement durable.

Des Rencontres Culturelles et Scientifiques

L’UNESCO et le Groupe Afrique prévoient un programme varié : conférences, projections de films, galas, expositions et plus encore. Les participants pourront aussi assister à des tables rondes sur des sujets cruciaux comme la restitution du patrimoine et l’importance de la diplomatie scientifique.

Selon le communiqué de l’UNESCO, « cette édition 2025 met en lumière l’importance de l’engagement. Elle souligne le rôle central de la culture et de l’éducation pour l’innovation et le développement durable. »

Une Célébration de la Diversité Culturelle Africaine

Cette semaine spéciale mettra aussi en avant les six régions géographiques du continent : Afrique du Nord, de l’Ouest, du Centre, de l’Est, australe et diaspora africaine. L’événement rassemblera des délégations gouvernementales, diplomatiques et associatives, ainsi que des artistes et exposants venus du monde entier.

La Semaine africaine est un moment fort pour célébrer la Journée de l’Afrique (25 mai), date marquant la création de l’Organisation de l’unité africaine (OUA) en 1963. Cet espace de dialogue et de célébration culturelle renforce les liens entre l’Afrique et le reste du monde, en mettant en avant un patrimoine partagé et une coopération culturelle renouvelée.

Le chemin vers un revenu stable : comment Ousmane est devenu un partenaire à succès de 1xpartners

Le marketing d’affiliation dans le secteur des paris : de réelles opportunités de croissance.

 

Le marketing d’affiliation continue de gagner en popularité comme l’un des moyens les plus accessibles et rentables de générer des revenus en ligne. Cela est particulièrement vrai dans des secteurs très concurrentiels et en forte croissance, tels que celuis des paris en ligne.

Aujourd’hui, nous vous racontons l’histoire d’Ousmane — un partenaire actif de 1xpartners originaire du Sénégal — qui partage son expérience, ses stratégies et ses résultats.

Le début de la collaboration : quand la marque parle d’elle-même

Ousmane a rejoint le programme d’affiliation 1xpartners en décembre 2021. Il explique que plusieurs éléments ont influencé sa décision :

« J’ai choisi ce programme pour la forte réputation de la marque, la qualité des produits et l’efficacité de l’équipe. Tout est transparent et rapide — c’est ce qui m’a immédiatement convaincu ».

Depuis, ce partenariat est devenu une partie intégrante de son activité en ligne.

Ses méthodes de travail : l’engagement par le contenu et la personnalisation

Pour attirer les joueurs, Ousmane utilise des outils éprouvés :

  • la création de contenuы intéressants et utiles ;
  • une présence active active sur les réseaux sociaux ;
  • l’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO)  ;
  • des recommandations personnalisées, adaptées aux besoins de son public cible..

Selon lui, la clé du succès ne réside pas dans la quantité, mais dans une communication précise et honnête avec les clients potentiels.

Les résultats financiers et sa philosophie de travail

L’un des aspects les plus inspirants de son parcours est la stabilité de ses revenus. En moyenne, Ousmane déclare gagner entre 4 000 et 7 000 dollars par mois, avec un pic mensuel atteignant 8 000 dollars.

Il souligne :

« Mon succès repose sur la constance, la créativité et la compréhension de mon audience. Ces trois éléments sont la base de tout ».

Les défis surmontés et la progression

Comme dans toute entreprise, le marketing d’affiliation comporte des défis. Mais Ousmane affirme qu’ils peuvent être transformés en opportunités de croissance.

« Je suis toujours à l’écoute de mon audience, j’adapte mes stratégies quand c’est nécessaire, et je bénéficie du soutien de l’équipe 1xpartners. Cela m’aide à ne pas abandonner ».

Conseils pour ceux qui débutent

Aux nouveaux partenaires, Ousmane recommande :

  • de garder la motivation ;
  • d’analyser leur audience cible ;
  • de ne pas hésiter à demander de l’aide à l’équipe du programme — un soutien précieux.

Des idées pour aller plus loin : hors ligne et ambassadeurs locaux

Ousmane propose également une idée originale d’amélioration : ouvrir des kiosques physiques dans les villes où l’accès à Internet est limité. Selon lui, cela permettrait de toucher une nouvelle population.

Il envisage aussi de lancer des campagnes publicitaires avec des célébrités sénégalaises, notamment dans des séries télévisées locales — un moyen efficace, selon lui, de renforcer la confiance et d’élargir sa portée.

Conclusion : un partenariat qui donne des résultats concrets

L’histoire d’Ousmane montre que le marketing d’affiliation avec 1xpartners n’est pas réservé aux experts. C’est une opportunité accessible à toute personne motivée, prête à apprendre et à progresser. Son parcours est un exemple de ce que la détermination et le bon choix de programme peuvent accomplir.

Rejoignez 1xpartners et écrivez votre propre histoire de succès.