Nord-Kivu : la révolte des oubliés

BENI/LUBERO – La colère a pris les couleurs de la fumée noire et des flammes. Ce lundi, les jeunes de Beni ont transformé les artères de leur ville en champ de protestation. Pneus brûlants, barricades dressées comme autant de symboles du désespoir : le Nord-Kivu entier semble avoir atteint son point de rupture. La recrudescence des massacres dans la région a poussé la population dans ses derniers retranchements.

Tandis que Beni brûlait de rage, le territoire voisin de Lubero, lui, saignait dans le silence. Dans la nuit de dimanche à lundi, les rebelles ADF ont frappé le village de Mukondo. Le bilan est lourd : dix-sept civils tués, huit blessés, un hameau réduit en cendres. La société civile locale égrène les chiffres avec une lassitude macabre, comme on lit un bulletin de décès devenu trop familier.

La rue comme ultime recours

À Beni, ce n’est plus une manifestation, c’est un cri. Un cri qui dit l’échec de toutes les promesses, l’impuissance de toutes les forces déployées. « On ne peut plus continuer à enterrer nos parents chaque semaine », lance un jeune manifestant, le visage masqué par la fumée. Les barricades ne visent plus seulement à bloquer la ville, mais à rendre visible une souffrance que Kinshasa semble ignorer.

La région vit un paradoxe tragique : plus les forces se déploient – armée congolaise, contingents régionaux –, plus l’insécurité s’enracine. Les ADF, ces fantômes qui hantent la forêt équatoriale, frappent avec une régularité de métronome, comme s’ils narguaient l’État censé les combattre.

Mukondo, dernier chapitre d’une longue tragédie

À Mukondo, les cendres sont encore chaudes. Quatre motos calcinées, une dizaine de maisons réduites en miettes. Les survivants racontent une attaque d’une violence inouïe, menée par des hommes déterminés. « Ils sont venus vers 22 heures, armés de machettes et de fusils. Ils frappaient partout, sans distinction », témoigne un rescapé, encore sous le choc.

Le territoire de Lubero, pourtant voisin de Beni où sont basées les forces de l’ordre, semble livré à lui-même. Les attaques se succèdent, les bilans s’alourdissent, et la colère gronde. « Nous sommes fatigués d’entendre les mêmes condoléances après chaque massacre », déplore un leader communautaire.

L’heure des comptes

Sur les barricades de Beni, un mot d’ordre circule : assez de discours, des actes. La population n’attend plus les traditionnelles promesses gouvernementales, mais des résultats concrets. Près de dix ans après le début de la campagne militaire contre les ADF, le calvaire des civils continue, s’amplifie même.

Le Nord-Kivu, riche de ses terres et de ses minerais, est devenu le théâtre d’une guerre sans fin. Aujourd’hui, ses habitants rappellent au pouvoir central qu’on ne gouverne pas un peuple qui n’a plus peur. Que la colère, parfois, est le dernier rempart contre l’oubli. La question qui brûle toutes les lèvres désormais : jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’horreur pour que cesse l’indifférence ?

Côte d’Ivoire : Tensions à Abidjan après l’attaque du domicile de Noël Akossi Bendjo

ABIDJAN – La nuit a été longue, trop longue, dans le camp de l’opposition ivoirienne. Entre samedi et dimanche, tandis qu’Abidjan dormait à moitié, deux de ses figures majeures ont été la cible d’opérations d’intimidation d’une rare violence.
Le domicile de Noël Akossi Bendjo, numéro deux du PDCI, a été pris d’assaut comme en terrain conquis. Dans le même temps, la résidence d’Affi N’Guessan, leader du FPI, a été encerclée par des hommes armés. À moins de deux semaines du scrutin présidentiel, cette escalade sonne comme un avertissement sans équivoque.

Le Parti des peuples africains (PPA-CI) de Laurent Gbagbo a été le premier à réagir. Dans un communiqué, il exprime une profonde indignation face à ce qu’il qualifie de « véritable raid militaire ».
Selon le récit du parti, des individus encagoulés et lourdement armés ont défoncé le portail de M. Bendjo avant d’investir les lieux. Le ton est grave et l’émotion palpable.

Des pratiques dénoncées comme “d’un autre âge”

L’alliance PPA-CI/PDCI n’a pas tardé à dénoncer ces actes, les qualifiant de « pratiques d’un autre âge » révélatrices « d’un régime autoritaire et liberticide ». La cible est clairement désignée : le pouvoir d’Alassane Ouattara, accusé d’utiliser la force pour museler l’opposition.
Dans la même nuit, le FPI a signalé l’encerclement du domicile de son président, Pascal Affi N’Guessan. Ce double incident laisse entrevoir une stratégie coordonnée de pression sur les derniers leaders encore en liberté.

Une tension croissante à l’approche du vote

Ces événements surviennent dans un climat politique déjà explosif. La présidentielle du 25 octobre se prépare sans Laurent Gbagbo ni Tidjane Thiam, tous deux exclus de la course. Le pouvoir semble décidé à verrouiller le jeu électoral, quitte à user de la contrainte.
Malgré l’interdiction de leur marche du 11 octobre, les militants du Front commun PPA-CI/PDCI ont bravé l’ordre, entraînant 237 interpellations. Le ministre de l’Intérieur, le général Vagondo Diomandé, a qualifié ces jeunes manifestants de « totalement irresponsables », preuve du fossé qui s’est creusé entre les camps.

Face à la répression, l’opposition prône désormais une résistance pacifique, en arborant la couleur orange. Ce symbole, simple mais puissant, pourrait bien devenir celui du défi dans les rues d’Abidjan. À l’aube d’une élection décisive, la Côte d’Ivoire oscille entre peur et colère.

RDC – Togo : Les Léopards s’en sortent in extremis

LOMÉ – Ils l’ont cherchée, cette victoire, au forceps. Dans un stade de Kégué hostile, sous un vent contraire et sur un terrain capricieux, les Léopards de la RDC se sont accrochés à leur but précoce comme à une bouée de sauvetage. 1-0. Un score minimaliste qui masque une bataille, une victoire laborieuse mais ô combien précieuse pour garder intact le rêve nord-américain.

Dès la 7e minute, l’éclair. Sur un ballon offert par le milieu togolais, Fiston Mayele alerte Cédric Bakambu dans la profondeur. Le buteur, intraitable, perce la défense et trompe le gardien d’une frappe sèche. Les Léopards mènent, et tout laisse présager un festival.

Las. La promesse offensive s’évapore aussi vite qu’elle était apparue. Le vent, le terrain boueux, et la vaillance des Éperviers togolais transforment le match en un chemin de croix. Les Congolais, dominateurs en début de rencontre, se retrouvent acculés, contraints à une résistance acharnée.

Une défense héroïque, un milieu en panne

Si l’attaque a buté, la défense, elle, a tenu bon. Menée par un Chancel Mbemba impressionnant de autorité, la ligne arrière congolaise a résisté aux assauts togolais. Le capitaine a organisé le bloc, verrouillant l’accès à sa surface comme une forteresse.

Le milieu de terrain, en revanche, a montré des signes de fébrilité. Trop de ballons perdus, de transmissions approximatives. Les Léopards ont paru subir, attendant la tempête plutôt que de la provoquer.

Le compte est bon, mais le chemin se rétrécit

Au coup de sifflet final, le soulagement l’emporte sur l’euphorie. Les trois points sont dans la poche, la deuxième place conservée. Mais au classement, l’horizon s’est précisé, et il est étroit.

Avec 19 points, la RDC reste dans le sillage du Sénégal (21 points). La différence de buts, elle, parle d’elle-même : +15 pour les Lions, +8 pour les Léopards. Un fossé qui ressemble à une montagne à gravir.

Mardi, à Kinshasa, contre le Soudan, il ne s’agira plus seulement de gagner. Il faudra une victoire large, très large, tout en espérant un faux pas sénégalais face à la Mauritanie. Les Léopards ont évité le piège togolais, mais le dernier obstacle sera le plus haut. Le Mondial est proche, mais il faudra se battre jusqu’au bout pour le saisir.

Lubumbashi se pare pour Tshisekedi

LUBUMBASHI – La capitale du cuivre se prépare à vivre une semaine historique. Le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo sera à Lubumbashi la semaine prochaine pour un double événement d’envergure : le lancement de la Semaine Congolaise du Tourisme et une cérémonie officielle à l’Université de Lubumbashi où il recevra les insignes de grand chancelier des universités congolaises.

L’annonce a été faite par le gouverneur intérimaire Martin Kazembe Shula, lors d’une réunion élargie du Conseil provincial de sécurité. Les autorités provinciales sont passées en mode opérationnel pour garantir le succès de ces deux rendez-vous majeurs.

Visite d’inspection sur le site universitaire

Immédiatement après la réunion, le gouverneur et sa délégation – comprenant les généraux de la Police, des FARDC, et le maire de la ville – se sont rendus sur le site du building administratif de l’Université de Lubumbashi, épicentre de la cérémonie présidentielle. Sur place, ils ont inspecté les installations et échangé avec les équipes techniques chargées des derniers préparatifs.

Sous la conduite du recteur Gilbert Kishiba Fitula, la délégation a parcouru les lieux stratégiques : le parking, l’amphithéâtre Kalaba Mutabusha, la salle Tharcisse Tshibangu et la salle Royale Belge. Le gouverneur a donné des orientations précises pour assurer la qualité et la rapidité des travaux d’aménagement et d’assainissement.

Un double enjeu pour le Haut-Katanga

Ces préparatifs intensifs témoignent de l’importance que les autorités accordent à ces événements. Du 13 au 17 octobre, Lubumbashi vivra au rythme de la Semaine Congolaise du Tourisme, vitrine du potentiel touristique national. En parallèle, l’UNILU s’apprête à accueillir le chef de l’État pour une cérémonie solennelle qui marquera l’histoire universitaire du pays.

La ville semble déjà en ordre de bataille. Entre promotion touristique et reconnaissance académique, Lubumbashi se positionne plus que jamais comme un pôle incontournable de la République Démocratique du Congo.

Le Nobel en clandestinité : Maria Corina Machado, voix d’un Venezuela bâillonné

OSLO/CARACAS – Ce vendredi 10 octobre, la nouvelle est tombée dans un silence de cathédrale avant de se répandre comme une traînée de poudre. Le prix Nobel de la Paix 2025 ne récompense pas un traité ni un cessez-le-feu, mais une femme. Une femme traquée, contrainte à la clandestinité, dont la voix porte pourtant plus loin que les verrous du pouvoir.
Son nom : Maria Corina Machado. Le Comité Nobel norvégien a sacré la cheffe de l’opposition vénézuélienne, offrant à sa lutte un écho planétaire.

Dans son annonce, le président du comité, Jørgen Watne Frydnes, a salué ses efforts « en faveur d’une transition juste et pacifique de la dictature à la démocratie ». Il a décrit une « figure clé » capable d’unir une opposition morcelée autour d’une exigence simple : des élections libres.
« Maria Corina Machado est l’un des exemples les plus extraordinaires de courage civique en Amérique latine », a-t-il déclaré. Son discours a résonné dans un monde qui regarde le Venezuela sombrer.

La « libératrice » et l’émotion de Caracas

À Caracas, la nouvelle a d’abord suscité l’incrédulité. Dans une vidéo partagée par son équipe, on voit la leader de 58 ans apprendre la décision. « Je suis sous le choc ! », lance-t-elle à Edmundo González Urrutia, le candidat qu’elle soutenait à la présidentielle. Son visage est bouleversé. « C’est quoi ce truc ? Je n’arrive pas à y croire », souffle-t-elle, entre émotion et surprise.
Cette réaction sincère contraste avec l’image de « libertadora » – la libératrice – que lui ont forgée des millions de Vénézuéliens. Lors des primaires de 2023, elle avait recueilli plus de 90 % des voix.

Un prix, un symbole, un message

Ce Nobel dépasse la récompense individuelle. Il devient un symbole politique puissant. L’Union européenne, les États-Unis et une grande partie de la communauté internationale y voient la légitimation d’un combat. Pour eux, Nicolás Maduro a usurpé sa réélection, et Edmundo González Urrutia reste le véritable vainqueur. Depuis son exil en Espagne, ce dernier a salué un prix « mérité ».

Le comité Nobel a rappelé la part d’ombre derrière la gloire : une année de clandestinité, des menaces constantes, et le choix de rester au pays. « Un choix qui a inspiré des millions de personnes », a-t-il souligné.
Le porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU, Thameen Al-Kheetan, a salué « une reconnaissance qui reflète les aspirations claires du peuple vénézuélien ».

L’annonce du Nobel a provoqué un choc bien au-delà du Venezuela. Elle a éclipsé d’autres prétendants, dont Donald Trump, qui espérait ce titre. Ses déclarations sur son rôle de pacificateur mondial paraissent désormais dérisoires face au combat de Maria Corina Machado.

Dans les rues de Caracas, comme au sein de la diaspora, son nom est devenu un étendard de liberté. Son Nobel éclaire les fissures d’un régime autoritaire. C’est l’histoire d’une femme qui, en refusant le silence et l’exil, a offert à son peuple une victoire dont l’écho ne s’éteindra plus.

RDC-Togo : l’ultime combat des Léopards pour sauver le rêve mondial

LOMÉ – Le compte à rebours a commencé. Dans la chaleur accablante de Lomé, les Léopards de la RDC se préparent à livrer la bataille de leur survie. Ce vendredi, face aux Éperviers du Togo, il n’y aura pas de place pour l’approximation, ni pour le regret. La mission est simple, mais terriblement exigeante : vaincre, ou voir s’évanouir le rêve d’une qualification pour la Coupe du monde 2026.

Le choc des chiffres qui fait froid dans le dos
À la veille du match, le classement des meilleurs deuxièmes a viré au cauchemar. La RDC, sixième avec 16 points en 8 matchs, a vu le Burkina Faso lui passer devant. Les Léopards ne trichent plus avec les statistiques : seules deux victoires – contre le Togo puis le Soudan – pourraient leur offrir un billet inespéré pour les barrages, voire une qualification directe.

Desabre, le stratège au bord du précipice

Sébastien Desabre, le sélectionneur français, affiche un calme de façade. En conférence de presse, sa voix ne tremblait pas, mais ses mots portaient le poids de l’urgence. « On est dos au mur, c’est-à-dire qu’il va falloir qu’on remporte les deux matchs », a-t-il reconnu, sans détour. Son discours, sobre et déterminé, contraste avec la pression qui étreint tout un pays.

Le classement qui donne le vertige

Les chiffres parlent d’eux-mêmes :

  • Le Gabon et Madagascar, 19 points

  • Le Burkina Faso, le Cameroun et l’Ouganda, 18 points

  • La RDC, 16 points, mais avec une partie en moins

Une victoire à Lomé propulserait les Léopards dans le top 4, à la veille de l’ultime rendez-vous face au Soudan.

L’espoir, malgré tout

Dans les couloirs de l’hôtel des Léopards, les joueurs affichent une sérénité troublante. Peut-être parce qu’ils savent que le destin sourit parfois aux audacieux. Peut-être parce que, dans le football comme dans la vie, les plus belles histoires naissent souvent de l’adversité.

Ce vendredi, à 14h précises, le stade de Lomé deviendra le théâtre d’un drame sportif. Entre l’exploit et la déception, entre la liesse et les larmes, les Léopards ont choisi de croire. Jusqu’au bout.

Le gouvernement intensifie la lutte contre la fraude minière et la contrebande

Kinshasa – La République démocratique du Congo passe à l’action pour mettre fin à la fraude minière et à la contrebande, des fléaux qui continuent de miner les ressources stratégiques du pays. Ce jeudi 9 octobre 2025, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Intérieur et Sécurité, Shabani Lukoo, a présidé une réunion décisive dans son cabinet, rassemblant les principaux acteurs concernés par la régulation du secteur minier.

La séance, qui a réuni les ministères et services clés — dont le Ministère des Mines (en visioconférence), le Conseiller du Président, l’Inspecteur général des Mines, le CEEC, la Commission nationale de lutte contre la fraude minière et la Police nationale congolaise — a mis en lumière plusieurs problématiques urgentes. Parmi elles : la présence d’hommes armés sur certains sites, l’intrusion d’exploitants illégaux et la nécessité de sécuriser les zones minières stratégiques.

Les discussions ont porté sur la mise en œuvre des recommandations du Président de la République, notamment l’évaluation de la levée des mesures de suspension de l’exploitation du cobalt, tout en renforçant l’accompagnement sécuritaire de l’ARECOMS, l’Autorité de régulation et de contrôle des marchés des substances minérales stratégiques.

À l’issue de la rencontre, plusieurs décisions immédiates ont été adoptées :

  • La démilitarisation et la sécurisation des sites miniers vulnérables ;

  • La mise en place d’un plan d’accompagnement pour l’ARECOMS afin de gérer la levée des suspensions d’exploitation du cobalt ;

  • L’élaboration d’une feuille de route stratégique pour mieux contrôler les ressources naturelles et optimiser les recettes de l’État.

Ces mesures s’inscrivent dans la volonté du gouvernement de renforcer la transparence et la gouvernance du secteur minier, pivot de l’économie congolaise, et d’assurer une exploitation responsable et sécurisée des richesses nationales.

CAF Trophy Hunt : Gagne un iPhone 17 Pro Max, un iPad Air 11, un Valve Steam Deck et d’autres prix avec la promotion 1xBet !

Le second semestre 2025 promet d’être intense pour tous les passionnés de football africain. Plusieurs tournois majeurs seront organisés sous l’égide de la CAF, partenaire officiel du bookmaker d’ordre mondial 1xBet : la Coupe d’Afrique des nations féminine (CAN 2024), le Championnat d’Afrique des nations (CHAN 2025), la Supercoupe de la CAF, la Coupe de la Confédération, la Ligue des champions et la Coupe d’Afrique des nations 2025 (CAN 2025).

Spécialement pour cette période chargée de la saison, 1xBet a lancé une grande promotion « CAF Trophy Hunt », où vous pourrez soutenir vos équipes africaines préférées et tenter d’empocher de précieux cadeaux : un iPhone 16 Pro Max, une PlayStation 5 Pro avec EA SPORTS FC 25, un MacBook Pro, un iPad Air 11 et bien plus encore.

Comment participer ?

1xBet souhaite que le football et des expériences palpitantes soient accessibles à tous les fans, c’est pourquoi les conditions de la promotion ont été simplifiées au maximum. Pour participer, vous devez :

  1. Vous connecter/vous inscrire sur la plateforme 1xBet ;
  2. Remplir les champs obligatoires de votre compte personnel ;
  3. Cliquer sur le bouton « Participer » sur la page de l’offre ;
  4. Parier sur les matchs des tournois organisés par la CAF.

Pour être éligible aux récompenses, placez des paris simples à une cote d’au moins 1,3, ainsi que des paris combinés à une cote d’au moins 1,3 pour chaque sélection. Au moins l’un des événements choisis doit être un match du tournoi de la CAF.

Pour chaque pari, vous recevrez des tickets promotionnels et participerez automatiquement au tirage au sort. Les débutants se verront accorder un bonus alléchant : pour leur premier pari, ils obtiendront 4 tickets supplémentaires.

Plus vous avez de tickets, plus vous avez de chances de rafler un prix de luxe. Pour augmenter vos chances de succès, participez aux « Matchs chanceux » et collectionnez des trophées qui vous donneront accès à des prix exceptionnels.

L’offre « CAF Trophy Hunt » se déroule en six étapes, chacune se terminant par un tirage au sort :

  • Étape 1 : tirage au sort – 29 juillet 2025
  • Étape 2 : tirage au sort – 2 septembre 2025
  • Étape 3 : tirage au sort – 21 octobre 2025
  • Étape 4 : tirage au sort – 1ᵉʳ décembre 2025
  • Étape 5 : tirage au sort – 20 janvier 2026
  • Étape finale : tirage au sort – 27 janvier 2026.

Tous les résultats seront publiés sur la page de la promotion.

Supercoupe de la CAF 2025 : La course aux prix a commencé !

La Supercoupe de la CAF approche à grands pas ! Le 18 octobre, les ténors du continent s’affronteront pour la gloire ultime. Dépêche-toi et récupère un maximum de billets.

Lors de la 3e étape, 1xBet tirera au sort les prix suivants :

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  • Autres gadgets : enceinte portable Apple HomePod mini, GoPro HERO13
  • Codes promo

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Le RGPH2 entre dans le vif du sujet avec la réception des premiers équipements tech

BRUXELLES – L’Union européenne franchit un nouveau cap dans son engagement pour la stabilité de l’Afrique centrale. En marge du Global Gateway Forum 2025, la présidente de la Commission européenne a annoncé un financement de 180 millions d’euros pour renforcer la paix, l’intégration régionale et le développement durable entre la RDC et le Rwanda.

Un soutien clair au processus de paix

« Le processus de paix en cours, facilité par les États-Unis, est une excellente nouvelle pour l’Est de la RDC », a déclaré la présidente. Elle a salué l’accord signé sous la médiation du président américain Donald Trump et soutenu par l’Union africaine. Selon elle, « l’Europe veut contribuer à le rendre durable, avec ses partenaires africains ».

Le Global Gateway, moteur d’un partenariat concret

Ce financement s’inscrit dans la dynamique du Global Gateway, l’initiative européenne qui renforce les infrastructures durables sur le continent africain. L’enveloppe européenne sera répartie dans quatre secteurs prioritaires :

  • Énergie : modernisation des réseaux et promotion des sources propres ;

  • Transports : développement des corridors commerciaux ;

  • Biodiversité : protection des écosystèmes régionaux ;

  • Mines durables : exploitation responsable des ressources.

Ces investissements visent à stabiliser l’économie régionale tout en réduisant les tensions liées à la concurrence minière.

Kagame salue un « partenariat gagnant-gagnant »

Présent à Bruxelles, le président Paul Kagame a estimé que ce soutien européen « ouvre la voie à une intégration régionale plus forte et à des investissements durables ». Il a salué le rôle du Global Gateway, déjà engagé dans le développement du secteur biomédical rwandais.

L’Union européenne prévoit d’ajouter 95 millions d’euros pour soutenir la production de vaccins et l’innovation médicale à Kigali. Cette initiative consolide l’ambition du Rwanda de devenir un pôle continental de biotechnologie.

Une diplomatie du développement en action

Entre diplomatie et économie, le Global Gateway s’impose comme un levier de paix et un outil d’avenir pour l’Afrique centrale. Il relie désormais les efforts politiques de Washington et de l’Union africaine à la vision européenne d’une coopération fondée sur la croissance partagée et la stabilité durable.

Global Gateway : l’Union européenne débloque 180 millions d’euros pour consolider la paix entre la RDC et le Rwanda

BRUXELLES – L’Union européenne franchit un nouveau cap dans son engagement pour la stabilité de l’Afrique centrale. En marge du Global Gateway Forum 2025, la présidente de la Commission européenne a annoncé un financement de 180 millions d’euros pour renforcer la paix, l’intégration régionale et le développement durable entre la RDC et le Rwanda.

Un soutien clair au processus de paix

« Le processus de paix en cours, facilité par les États-Unis, est une excellente nouvelle pour l’Est de la RDC », a déclaré la présidente. Elle a salué l’accord signé sous la médiation du président américain Donald Trump et soutenu par l’Union africaine. Selon elle, « l’Europe veut contribuer à le rendre durable, avec ses partenaires africains ».

Le Global Gateway, moteur d’un partenariat concret

Ce financement s’inscrit dans la dynamique du Global Gateway, l’initiative européenne qui renforce les infrastructures durables sur le continent africain. L’enveloppe européenne sera répartie dans quatre secteurs prioritaires :

  • Énergie : modernisation des réseaux et promotion des sources propres ;

  • Transports : développement des corridors commerciaux ;

  • Biodiversité : protection des écosystèmes régionaux ;

  • Mines durables : exploitation responsable des ressources.

Ces investissements visent à stabiliser l’économie régionale tout en réduisant les tensions liées à la concurrence minière.

Kagame salue un « partenariat gagnant-gagnant »

Présent à Bruxelles, le président Paul Kagame a estimé que ce soutien européen « ouvre la voie à une intégration régionale plus forte et à des investissements durables ». Il a salué le rôle du Global Gateway, déjà engagé dans le développement du secteur biomédical rwandais.

L’Union européenne prévoit d’ajouter 95 millions d’euros pour soutenir la production de vaccins et l’innovation médicale à Kigali. Cette initiative consolide l’ambition du Rwanda de devenir un pôle continental de biotechnologie.

Une diplomatie du développement en action

Entre diplomatie et économie, le Global Gateway s’impose comme un levier de paix et un outil d’avenir pour l’Afrique centrale. Il relie désormais les efforts politiques de Washington et de l’Union africaine à la vision européenne d’une coopération fondée sur la croissance partagée et la stabilité durable.