Les agents et cadres du ministère de l’enseignement technique, profession, formation, métiers et artisanat sont montés au créneau pour exiger de leur tutelle une nette amélioration des conditions de travail et surtout le règlement de leurs arriérés de salaire.
Ces derniers en plus de ne pas être payés, affirment être victimes de leurs collègues de l’Enseignement primaire, secondaire et professionnel qui empiètent sur leur autorité alors que le travail dont il est question, le contrôle dans les écoles, sont dans leurs prérogatives. « Ils nous est difficile pour ne pas dire impossible d’accomplir notre tâche qui consiste à procéder au contrôle sur l’organisation dans les écoles techniques qui sont pourtant sous notre juridiction. Nous sommes victimes de calomnie, de rejet de la part des agents de l’EPSP. La plupart des promoteurs ou préfets refusent de nous recevoir arguant que ceux de l’EPSP étaient déjà passés pour accomplir la même tâche », fustigent-ils.
« Nous réclamons l’amélioration des conditions de travail par la reconnaissance de notre statut afin d’éviter le dédoublement des services et le paiement de nos arriérés et primes de 3 ans », martèlent-ils.