Le coordonnateur de la coalition Lamuka, Adolphe Muzito Fumutshi, exclut toute thèse temporelle pour justifier le retard du processus électoral dans le pays.
Pour l’ancien premier ministre, la recherche du consensus dans la désignation des nouveaux animateurs de la Commission électorale nationale et indépendante (CENI), ne devrait pas être considérée comme une raison pour ne pas organiser les élections en 2023.
Au cours d’une conférence-débat, avec les militants de sa formation politique, le leader de Nouvel élan a expliqué qu’il est possible d’élaborer un calendrier réaliste même à partir du mois de juillet 2022 et organiser les bonnes élections en 2023.
Le chef de Lamuka, Adolphe Muzito a assuré que, ses affirmations sont fondées sur son expérience acquise à la tête du gouvernement qui avait traité les questions d’élaboration du calendrier électoral.
Adolphe Muzito, Martin Fayulu et une frange de la société civile, exigent les réformes électorales profondes, dont la dépolitisation de la centrale électorale pour organiser les élections démocratiques, transparentes et crédibles en 2023.