Florence Marchal la porte -parole de la Mission de l’Organisation des Nations unies pour la stabilisation du Congo (MONUSCO), s’est exprimé hier lors d’un point de presse, sur la question de la machine à voter
La problématique de ladite machine, continue a divisé la classe politique congolaise. La parte parole de la MONUSCO, a fait savoir à l’opinion que son organisation n’a pas qualité de juger la machine à voter.
« Nous n’avons pas de position. Une fois encore, nous ne sommes pas là pour juger. Nous sommes là pour accompagner. Et notre rôle, c’est de pouvoir aplanir les différences et convaincre les uns et les autres de faire taire leurs contradictions et de trouver un consensus », précise Florence Marchal.
« Il est important une fois encore pour nous, qu’il n’y ait pas de grain de sable qui fasse dérailler le processus. Et c’est la mission qui est dévolue à la MONUSCO, et à laquelle nous nous employons chaque jour », a-t-elle martelé.
Pour rappel, la machine à voter continue a suscité des tensions dans la classe politique, et cette question était au cœur des échanges de la tripartite CNSA- CENI et le gouvernement congolais, qui s’est ouverte ce jeudi 5 juillet à Kinshasa.