Conférences, débats, séminaires, ateliers de formation seront organisés par ladite association pour renforcer les capacités de la gente féminine dans ce secteur d’activité.
L’Association congolaise des femmes journalistes de la presse écrite (ACOFEPE) a pris l’engagement le 31 mars à Kinshasa, d’augmenter le nombre de ces dernières dans ce secteur d’activité. Il est donc question, d’après la présidente Grace Ngyke, de promouvoir le « retour à la rédaction et à la lecture » car selon elle, « la presse écrite au féminin » est d’une immense contribution dans le monde immense de la presse.
Pour atteindre cet objectif, l’ACOFEPE prépare des campagnes de sensibilisation sur le terrain notamment dans les structures universitaires où sont dispensés des cours de journalisme et de communication. En effet, il est urgent pour l’association d’expliquer aux étudiantes l’importance de la femme de médias au sein de la presse écrite et les convaincre ainsi de s’intégrer dans le métier. Des conférences, débats, séminaires ainsi que des ateliers de formation seront également organisés par l’association pour renforcer les capacités des femmes journalistes de la presse écrite afin d’améliorer leur écriture. Ces activités seront menées en partenariat avec d’autres organisations professionnelles des médias dans le but d’atteindre un résultat optimal et satisfaisant.
De nombreuses autorités et associations ont tenu à encourager la toute jeune ACOFEPE en l’occurrence l’Union nationale de la presse du Congo, l’Union congolaise des femmes des médias, le Conseil supérieur de l’audiovisuel et de la communication et le délégué du ministre de la Communication et médias ainsi que l’IFASIC qui a abrité l’evènement.