La Police a fait usage des grenades lacrymogènes devant le siège local d’Airtel pour disperser les activistes rassemblés pour réclamer l’amélioration de la qualité de la communication et l’alignement des coûts sur le pouvoir d’achat du congolais moyen.
« J’ai personnellement vu les policiers ainsi que les gardiens de GSA en train de torturer les militants. J’ai personnellement vu une dizaine de militants blessés. Il y a même une fille qui était parmi eux qui a piqué une crise. J’ai fui quand la police a commencé à tirer des gaz lacrymogènes que j’ai d’ailleurs inhalés », témoigne un habitant exerçant ses activités commerciales en face du bureau de la société de télécommunication.