Le numéro 2 de la CENI Norbert Basengezi, a décliné la responsabilité de ladite institution, dans les allégations de corruption qui ont émaillé les sénatoriales du 15 mars dernier.
Pour le vice-président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), s’il y a eu corruption, cela ne s’est pas faite dans les sites électoraux.
« La corruption a été dénoncée par 4 ou 5 candidats. Aucune d’elle ne s’est tenue dans l’hémicycle. La loi dit que la campagne se tient à l’assemblée provinciale. Les mesures par la CENI pour garder le secret de vote voulaient qu’on y entre avec aucun stylo pas même un téléphone pour garder le secret des urnes. S’il y a eu donc corruption, ce n’est pas pendant le vote, ça doit être au-delà du bureau de l’assemblée provinciale. Et ça, ça n’engage pas la CENI », a déclaré Norbert Basengezi vice-président de la CENI.
Pour rappel, l’installation des sénateurs nouvellement élus a été suspendue pour corruption dénoncée par les militants du parti présidentielle.